Hier, je me préparais à aller faire du ski avec des amis. Des amis que je n'avais pas vu depuis longtemps. Disons que je m'étais un peu éloingné d'eux alors qu'ils ne pensaient encore qu'à faire la fête et aussi parce que je voulais m'éloigner de Matt. Comme je n'ai jamais réussis à dire non à ce garçon, il a rapidement pris le contrôle et s'est amusé avec moi.
Toujours est-il que j'arrive là bas, habillée de mon merveilleux ensemble de neige, un peu dépassé, mais je me sens toujours sexy dedans. Donc en arrivant, Matt, Jeff et Cath m'attendent pour se lancer sur les pistes. Il fait un froid mordant, je me demande encore ce que je fais là, mais lorsque je croise le regarde de Matt, déjà je sens que je flanche. Mais tout commence bien, on fait quelques descentes, on s'amuse, on boit un peu de ce que Jeff avait apporté pour se réchauffer et on refait encore quelques descentes. Mais comme il faisait très froid, Cath n'en pouvant plus, nous propose d'aller finir la soirée chez elle, ce que je décline aussitôt, connaissant les risques de rester trop près de Matt. Mais les trois insistent pour que j'y aille, me donnant comme raison que ça fait longtemps qu'on ne s'était pas vu. Après tout, je pouvais peut être résister à Matt aujourd'hui, j'ai mûri, j'ai vieilli, malgré que je sois encore très jeune, je ne suis plus la petite fille influençable qu'il a connu, j'ai eu beaucoup d'expériences depuis.
Alors on se rend tous chez Cath, elle qui habite dans un jolie petit jumelé dans un coins tranquile. Évidement, ils mettent de la musique, et l'alcool coule à flot. Je tente de ne pas trop boire pour garder toute ma tête mais je fini évidement, sans m'en apercevoir, par boire plus qu'il n'aurait fallu. Je descend donc à la salle de bain, histoire de me mettre un peu d'eau froide sur le visage et dans le cou, ne voulant pas perdre mes moyens. Évidement, comme j'aurais pu le deviner, en voulant sortir de la salle de bain du sous-sol, je tombe nez à nez, que dis-je nez-à-torse avec Matt. Il me regardait, avec son large sourire viril et me dit qu'il était content de me voir, que ça faisait vraiment trop longtemps. Je lui rend le sourire et lui dit qu'effective... sans plus attendre, il s'avance et m'embrasse. Ne me demandez pas pourquoi, mais je n'ai pas pus le repousser. Sa main glissait déjà sous mon chandail pour caresser mes seins. Il ne perdait vraiment pas de temps.
Toujours en m'embrassant, il défaisait son jeans et le laissa glisser par terre. J'étais presque paralysée. Il éloigna quelque peu son visage et me demanda "Qu'est-ce que tu attends, prend la dans ta bouche. Et me tenant par les cheveux, il m'entraîna vers le bas, le visage au niveau de son sexe. Il empoigna son membre de sa main libre et il le dirigea dans ma bouche alors qu'il forçait ma tête à s'approcher. J'ouvris la bouche discrètement, mais sa grosse queue, déjà presque dur, força l'entrée. Je me mis à le sucer du mieux que je pu, forcée de le faire par sa main tenant ma crinière. Il faisait avancer et reculer ma tête de façon forte et rapide, de sorte que j'avais son gland qui me cognait au fond de la gorge, quelque fois, m'étouffant au passage. Il eu vite fait de venir dans ma bouche, laissant couler son liquide chaud dans ma gorge. Puis me prenant par la machoire de sa puissante main, il me releva la tête et me dit "Tu t'es pratiquer, tu suces comme une vrai pute, t'étais moins bonne que ça avant!" Déjà, j'étais rouge, je me demandais pourquoi je le laissais me faire ça et me parler comme ça, quand en plus, il rajouta "Jeff m'a dit qu'il aurait toujours aimé ça te baiser, je vais aller le chercher". "Non" Criais-je... dans ma tête, mais j'eus quand même la force de lui dire que ce n'était pas bien pour Cath et il répliqua qu'elle dormait, saoûle, donc rien ne la dérangerait. Il me prit par le poignet et me fis monter en haut.
Arrivée en haut, Jeff était assis au pied du sofa où dormais Cath, la main dans son chandail de laine en train de lui plotter les seins tout en se caressant par dessus ses jeans. En nous voyant, il n'eut même pas le réflexe d'arrêter ni de visage coupable. Il nous fit bonjour en souriant, pour ensuite remettre sa mains sur sa queue et continuer de se caresser. Matt, qui me tenait toujours par le bras, me fit mettre à quattre patte devant Jeff et me dit de faire mon travail, puis il alla s'assoire dans le sofa d'à côté. Je me suis alors approchée de Jeff, à quattre patte, pour défaire son jeans. Jeff était tout sourire et regardait Matt d'un regard de gratitude. Il se laissa faire, sauf lorsqu'il leva les fesses, me laissant lui retirer son jeans. Je pris alors son sexe dans ma bouche et commença à le sucer. Tout au long, il continuait de caresser les seins de Cath, qui dormait, engourdi par top d'alcool. Il alla même jusqu'à lui soulever son chandail pour exhiber son sein. Je dois avoir que cela m'excita d'avantage, malgré que la situation fut dégradante, elle était vraiment très excitante.
Jeff n'étant pas plus durable que Matt, vint dans ma bouche au bout de quelques minutes seulement. C'est le seul moment où il lâcha le sein de Cath pour placer ses deux mains sur ma tête pour enfoncer son sexe bien au fond de ma gorge. Il me regarda ensuite avec un large sourire, satisfait d'avoir jouis dans ma bouche. J'allais me relever alors que Matt me dit de rester comme ça. Il passa derrière moi et par derrière, glissa mon pantalon de nylon jusqu'à mes genoux. Il en fit de même avec mon string, le descendant d'un seul coup. Il se lècha la main et vint la plaquer sur mon sexe, me faisant sursauter. Pour enfin constater que j'étais déjà assez mouillée. Il entra alors un doigt, puis deux. Pour les retirer en me traitant de pute. Il sortit sa grosse queue et me l'enfonça entre les cuisses, bien au fond de mon sexe chaud et remplis d'un désir intense de jouir. Alors qu'il commença à me pistonner à fond, Jeff devant, relevait mon chandail pour jouer avec mes seins. Il lâcha finalement mes seins, son érection renvue, pour prendre ma tête et se masturber sur le côté de ma joue, me donnant de temps à aute des coups de gland sur le côté du visage. J'entendais Matt qui commençait à râler de plaisir dû à son va et viens rapide dans mon sexe pour le sentir gonfler, puis exploser dans un gémissement primal. Il se recula, prétextant laisser la place pour Jeff. Mais Jeff ne voulu pas s'introduire dans un endroit utilisé et décida d'entreprendre mon petit trou.
Sans préliminaire ni douceur, il s'enfonça dans mon cul avec force. Me faisant gémir, de douleur, plus que de plaisir. Il y alla de la même cadence que Matt pour me baiser le derrière comme il faut. Me tenant fermement par les hanches, il se mit à gémir assez rapidement. Il faut dire, qu'en me serrant les fesses, je savais qu'il ne pourrait pas durer longtemps. Il fini enfin par jouir dans mon cul, pour se retirer et me laisser là, à quattre patte, juste au pied du sofa ou dormait Cath avec le sein dénudé.
Alors que je croyais que c'était enfin fini, Matt m'a ordonné, avec un rire puéril de manger les seins de Cath en me masturbant. Je ne voulais pas abuser d'une jeune fille qui dormait mais encore une fois, poussée par je ne sais quel force, je me suis avancée et j'ai commencée à lêcher, surcer et même mordiller les seins de Cath, le cul à l'air, remplis de sperme et avec deux gars qui me regardaient en se masturbant. Jeff n'a pas réussis à jouir une troisième fois, mais Matt, alors qu'il était sur le point de jouir, m'a reprise par les cheveux te à ramener mon visage devant son sexe. Voulant le prendre dans ma bouche, il m'a tenu à distance et à fini par éjaculer dans mon visage. Il n'en a pas envoyé beaucoup, mais juste assez pour que je me sente pleine de sperme sur tout le corps.
Je suis finalement descendu dans la salle de bain du bas, prendre ma douche. Et lorsque je suis remontée, ils dormaient tous. Jeff couché par terre et Matt sur le sofa près de Cath. J'ai eu alors une idée qui m'a fait sourire. Comme le sein de Cath avait été recaché, c'est qu'ils ne voulaient pas qu'elle le sache, j'ai alors redécouvert son sein pour y déposer la main de Jeff, comme il était le seul assez près. Mais j'ai aussi pris la main de Matt, m'assurant que les deux dormaient profondément et je lui ai mis la main, à moitié dans son jeans. Et je suis repartie chez moi le plus vite possible, avant de changer d'idée. :)
C'était quand même une belle soirée, mais ce qui s'est passé, j'aurais presque pu l'écrire avant que ça arrive tellement je savais comment ça finirait!
jeudi 14 février 2008
jeudi 13 décembre 2007
L'apprentissage
Vous vous souviendrez peut être de ma coloc, dans lequel je parle abondamment dans mon dernier texte et bien imaginez vous donc qu'elle est partie en voyage avec un mec pour deux semaines. Jusque là, rien de vraiment dérangeant jusqu'à ce qu'elle prenne sa valise pour partir, dépose un baiser sur mes lèvres et en sortant rapidement me dit "J'ai dit à ma soeur qu'elle pouvait venir dormir dans ma chambre de temps en temps." et moi de répondre "Ah... ok!" alors que la porte était déjà fermée derrière elle.
Ce n'est que 4 jours plus tard que j'entend la clé dans la serrure, alors qu'il était environs 22h et que je me préparais à aller me coucher. C'était effectivement sa petite soeur J. qui entrait, un peu gênée, dans mon appart. Je l'avais déjà vue une fois, mais à cette époque elle ne devait avoir que 15 ou 16 ans. Mais elle n'avait pas vraiment changée et si je comptais bien, elle devait avoir à peine 19 ans. Petite jeune au corps fin, à la peau douce et aux cheveux lisses. Il est vrai que je n'ai que quelques années de plus qu'elle, mais sa jeunesse me rendait jalouse.
Après m'avoir embrassée timidement sur la joue, elle m'anonce, ou plutôt me demande, si son copain peut venir lui aussi. Je lui dit qu'il n'y a pas de problème, que s'ils veulent dormir ici, j'en serais heureuse. Elle est alors allée dans le corridor et lui a indiqué de monter, il l'attendais dans le bas des escaliers. J'ai trouvé ça mignon.
Après avoir échangé quelque peu ensemble, je leurs offre un verre et discute quelque peu avec eux. Je me rend comptes qu'ils semblent un peu détaché de moi et semble vouloir être seul, alors je les laissent pour aller prendre mon bain. En ressortant, il ne sont évidement plus au salon et la porte de la chambre est fermée. Doucement, je m'approche de la porte et tend l'oreille pour entendre gémir. C'est son mec qui semble avoir du plaisir, même qu'à un certain moment, je peux facilement retourner à ma chambre que je l'entend encore, il est très bruyant et c'est loin d'être excitant.
Je finis par m'endormis après que j'eus entendu un long gémissement animal de sa part. La nuit fut tout de même douce, mais même si je pouvais me lever tard le lendemain, ce dimanche ne m'accorda pas de répit alors que le téléphone sonna vers les 7h. Un sondage!!! "Hmmm noon pas intéressée, désolé!" et raccroche sans écouter ses tentatives pour me convaincre. Donc trop tard, je dois me lever. Je me fais un café et j'entend la porte de la chambre de mon amie ouvrir, alors que je vois J. en sortir. Elle vient me voir et me demande si elle peut avoir un café elle aussi, elle n'a pas beaucoup dormis. En entendant le son de ronflement qui sort de la chambre, je comprend pour quoi. Je la prend dans mes bras et l'embrasse sur le front et je lui prépare un café à son tour.
Deux heures plus tard, alors qu'elle regarde la télé, il se lève, s'habille rapidement et sans même l'embrasser, il lui dit qu'il est pressé et la rappellera bientôt. Puis il sort, tout débraillé, presqu'en courant. Et moi je commence à me demander qu'est-ce qu'il y a dans mon appart pour que tout le monde soit toujours pressé de partir!
Je m'empresse donc d'aller voir J. salon et subtilement, je lui demande comment était sa soirée, sa nuit. Elle ne semblait pas trop vouloir en parler tout en me disant que c'était bien. En insistant un peu, elle fini par m'avouer qu'elle n'avait pas vraiment eu de plaisir, mais qu'elle était habituée, qu'elle n'était pas faite pour jouir.
Remplis de tristesse et de compassion, je me suis approchée d'elle. Tout en lui disant que pour qu'un homme nous fasses jouir, il fallait qu'on se connaisse soi-même et être capable de diriger l'homme par la suite. Quand on sait ce qu'on veut, c'est plus facile pour notre partenaire. Alors je lui demande si elle s'était déjà masturbée. Elle rougit et me répond qu'elle a déjà essayé deux fois mais qu'elle avait failli se faire prendre les deux fois, alors elle en avait gardé une mauvaise expérience.
Je sentais un peu l'excitation montée en moi en imaginant cette douce petite fille se toucher, se caresser et tenter de se faire jouir. Alors je lui demande si elle veut de l'aide, des conseils. Elle baisse la tête et me dit qu'elle aimerait bien, ça ne peut pas être pire. Je me lève donc et prend une cassette sous mon meuble que j'insère dans le vidéo. Je lui dit que c'est un film de fille et que ça pourrais l'aider. Le film en question étant un film érotique de lesbienne, loin du 3x où tout semble irréel, dans ce film, les filles se courtisent, jouent et s'excitent avant de se faire jouir pour vrai.
Et je lui dit qu'elle peut se masturber, qu'ici personne ne l'attraperais, que j'avais barré la porte. Et en disant cela, je retourne m'asseoir près d'elle. Elle semble très mal à l'aise et me dit qu'elle ne peut pas le faire si je suis là. Je lui dit alors de regarder le film et de me regarder faire au pire. Je commence alors à caresser mon ventre et je monte sous ma camisole pour caresser mes seins. Je la sens mal à l'aise, mais elle regarde. De mon autre main, j'entre doucement sous mon pyjama pour me caresser doucement le pubis et le dehors des lèvres. Alors que je continue mes caresses, je finis par lever ma camisole, exposant mes seins à sa vue. Je la regarde du coins de l'oeil et malgré le malaise, je vois sa respiration saccadée, qui s'intensifie. Après plusieurs minutes, je baisse un peu mon pyjama à mi-cuisse et j'écarte bien pour y laisser entre un doigt. Je commence à me masturber alors que mon miel humide me permet de faire glisser le bout de mon doigt sur mon clitoris. Je commence à gémir doucement, le plus doucement possible pour ne pas l'effaroucher.
Je la vois bouger sur le sofa, elle semble en avoir envie. J'arrête mes caresses sur moi et je dépose ma main entre ses cuisses par dessus ses jeans et j'applique une petite caresse en lui disant d'y aller, que je savais qu'elle en avait envie. Elle semble insécure, je commence alors à débouttonner son jeans et elle lève les fesses pour me laisser les enlever. C'est un bon début, je repose ma mains sur sa petite culotte et je vois le choc créé par cette caresse. Je m'enlève donc et je recommence à me masturber, mais cette fois, j'enlève mon pyjama et ma camisole au complet. Je me met face à elle et je me caresse en la regardant. Elle fini par placer sa main sur son sein mais ne se caresse pas. Je lui demande si elle veut que je lui montre. Elle me fait un petit signe de oui.
Je m'approche d'elle et enlève son t-shirt. Je caresse doucement ses seins, du bout des doigts puis du bout des lèvres. J'ouvre la bouche pour laisser entrer le mamelon durcis par l'excitation alors que je la sens trembler sous ces caresses. Mais main descend entre ses cuisses pour entrer dans sa culotte et commencer à caresser. J'avoue avoir été surprise par la chaleur et l'humidité que j'y ai trouvée, elle était vraiment excitée. J'ai alors commencée à la masturbée tout en continuant à jouer avec ses seins et à les lècher en même temps. Je peux vous dire qu'après moins de dix minutes sous mes caresses elle avait déjà jouis. Je sentais ses mains s'agripper à mon bras, son corps se raidir complètement, elle semblait presqu'en panique de ce que je lui faisait sentir et elle a jouit tellement fort que j'ai faillis en tomber en bas du sofa.
Elle semblait morte, toute molle, mais souriante. Elle m'a même remerciée, une larme à l'oeil. Je lui ai dit que c'était beau tout ça mais que moi je n'avais pas jouis. Je me suis alors replacé à l'autre bout du sofa et en la regardant, écartée, halètante, les cheuveux ébourifés, je me suis caressée. Elle en est même venue à s'approcher et à me toucher les seins pendant que je me masturbait. Inutile de vous dire que j'étais vraiment excitée. Et lorsque je l'ai vue mettre sa main sur sa chatte pour se caresser à nouveau, j'ai explosée et j'ai jouis sous une vague de plaisir intense. Mais elle, toujours à quattre patte devant moi, semblait parti, en transe, elle s'amusait avec son corps. Je me suis donc hissée hors du sofa, puisque j'étais à moitié sous elle pour aller me placer à genoux à côté d'elle pour profiter au maximum de sa poitrine sous l'effet de la gravité. Elle n'avais pas beaucoup de seins, mais dans cette position, ils remplissaient bien mes mains. La sentant de plus en plus sur le bord, je suis allée me placer derrière elle et j'ai inséré un doigt dans sa chatte pendant qu'elle se masturbait. Elle semblait de plus en plus près de l'orgasme et manquait de force, tellement, qu'elle s'est laissée choire le visage applatit sur le sofa, mais toujours le petit cul dans les airs. C'en était trop pour moi. Elle avait tellement un beau petit derrière que je n'ai pas pu m'empêcher d'insérer ma langue entre ses deux lobes de fesses si douces. Encore une fois, j'eus l'impressions qu'un éclair avait traversé son corps et elle se mit à gémir très fort avec de petits cri à chaque coups de langue et mouvement de mon doigts inséré dans son sexe. Elle fini par jouir en tremblant de tout son corps, serrant les cuisses tellement fort que j'eus peur de perdre mon bras. Je finis donc de lui lècher le cul pour la voir tomber, toute molle sur le sofa.
Elle avait les yeux fermés, ne bougeais plus et ressemblais à un ange. Je suis allé chercher une couverture, j'ai fermé la télé et je l'ai laissée dormir alors que j'allais chercher mon vibrateur pour me donner encore un peu de plaisir, je n'étais pas rassasiée après avoir vu tout ça, j'en voulais encore. Je peux vous dire que je me suis amusée pendant au moins une demi heure.
Et lorsqu'elle s'est réveillée, gênée, mais toute de même épanouie, elle m'a remerciée et demandé si elle pouvait revenir couché ici bientôt, seule. Évidement, vous pouvez être certains que j'ai dit oui, j'ai bien d'autres choses à lui apprendre.
Ce n'est que 4 jours plus tard que j'entend la clé dans la serrure, alors qu'il était environs 22h et que je me préparais à aller me coucher. C'était effectivement sa petite soeur J. qui entrait, un peu gênée, dans mon appart. Je l'avais déjà vue une fois, mais à cette époque elle ne devait avoir que 15 ou 16 ans. Mais elle n'avait pas vraiment changée et si je comptais bien, elle devait avoir à peine 19 ans. Petite jeune au corps fin, à la peau douce et aux cheveux lisses. Il est vrai que je n'ai que quelques années de plus qu'elle, mais sa jeunesse me rendait jalouse.
Après m'avoir embrassée timidement sur la joue, elle m'anonce, ou plutôt me demande, si son copain peut venir lui aussi. Je lui dit qu'il n'y a pas de problème, que s'ils veulent dormir ici, j'en serais heureuse. Elle est alors allée dans le corridor et lui a indiqué de monter, il l'attendais dans le bas des escaliers. J'ai trouvé ça mignon.
Après avoir échangé quelque peu ensemble, je leurs offre un verre et discute quelque peu avec eux. Je me rend comptes qu'ils semblent un peu détaché de moi et semble vouloir être seul, alors je les laissent pour aller prendre mon bain. En ressortant, il ne sont évidement plus au salon et la porte de la chambre est fermée. Doucement, je m'approche de la porte et tend l'oreille pour entendre gémir. C'est son mec qui semble avoir du plaisir, même qu'à un certain moment, je peux facilement retourner à ma chambre que je l'entend encore, il est très bruyant et c'est loin d'être excitant.
Je finis par m'endormis après que j'eus entendu un long gémissement animal de sa part. La nuit fut tout de même douce, mais même si je pouvais me lever tard le lendemain, ce dimanche ne m'accorda pas de répit alors que le téléphone sonna vers les 7h. Un sondage!!! "Hmmm noon pas intéressée, désolé!" et raccroche sans écouter ses tentatives pour me convaincre. Donc trop tard, je dois me lever. Je me fais un café et j'entend la porte de la chambre de mon amie ouvrir, alors que je vois J. en sortir. Elle vient me voir et me demande si elle peut avoir un café elle aussi, elle n'a pas beaucoup dormis. En entendant le son de ronflement qui sort de la chambre, je comprend pour quoi. Je la prend dans mes bras et l'embrasse sur le front et je lui prépare un café à son tour.
Deux heures plus tard, alors qu'elle regarde la télé, il se lève, s'habille rapidement et sans même l'embrasser, il lui dit qu'il est pressé et la rappellera bientôt. Puis il sort, tout débraillé, presqu'en courant. Et moi je commence à me demander qu'est-ce qu'il y a dans mon appart pour que tout le monde soit toujours pressé de partir!
Je m'empresse donc d'aller voir J. salon et subtilement, je lui demande comment était sa soirée, sa nuit. Elle ne semblait pas trop vouloir en parler tout en me disant que c'était bien. En insistant un peu, elle fini par m'avouer qu'elle n'avait pas vraiment eu de plaisir, mais qu'elle était habituée, qu'elle n'était pas faite pour jouir.
Remplis de tristesse et de compassion, je me suis approchée d'elle. Tout en lui disant que pour qu'un homme nous fasses jouir, il fallait qu'on se connaisse soi-même et être capable de diriger l'homme par la suite. Quand on sait ce qu'on veut, c'est plus facile pour notre partenaire. Alors je lui demande si elle s'était déjà masturbée. Elle rougit et me répond qu'elle a déjà essayé deux fois mais qu'elle avait failli se faire prendre les deux fois, alors elle en avait gardé une mauvaise expérience.
Je sentais un peu l'excitation montée en moi en imaginant cette douce petite fille se toucher, se caresser et tenter de se faire jouir. Alors je lui demande si elle veut de l'aide, des conseils. Elle baisse la tête et me dit qu'elle aimerait bien, ça ne peut pas être pire. Je me lève donc et prend une cassette sous mon meuble que j'insère dans le vidéo. Je lui dit que c'est un film de fille et que ça pourrais l'aider. Le film en question étant un film érotique de lesbienne, loin du 3x où tout semble irréel, dans ce film, les filles se courtisent, jouent et s'excitent avant de se faire jouir pour vrai.
Et je lui dit qu'elle peut se masturber, qu'ici personne ne l'attraperais, que j'avais barré la porte. Et en disant cela, je retourne m'asseoir près d'elle. Elle semble très mal à l'aise et me dit qu'elle ne peut pas le faire si je suis là. Je lui dit alors de regarder le film et de me regarder faire au pire. Je commence alors à caresser mon ventre et je monte sous ma camisole pour caresser mes seins. Je la sens mal à l'aise, mais elle regarde. De mon autre main, j'entre doucement sous mon pyjama pour me caresser doucement le pubis et le dehors des lèvres. Alors que je continue mes caresses, je finis par lever ma camisole, exposant mes seins à sa vue. Je la regarde du coins de l'oeil et malgré le malaise, je vois sa respiration saccadée, qui s'intensifie. Après plusieurs minutes, je baisse un peu mon pyjama à mi-cuisse et j'écarte bien pour y laisser entre un doigt. Je commence à me masturber alors que mon miel humide me permet de faire glisser le bout de mon doigt sur mon clitoris. Je commence à gémir doucement, le plus doucement possible pour ne pas l'effaroucher.
Je la vois bouger sur le sofa, elle semble en avoir envie. J'arrête mes caresses sur moi et je dépose ma main entre ses cuisses par dessus ses jeans et j'applique une petite caresse en lui disant d'y aller, que je savais qu'elle en avait envie. Elle semble insécure, je commence alors à débouttonner son jeans et elle lève les fesses pour me laisser les enlever. C'est un bon début, je repose ma mains sur sa petite culotte et je vois le choc créé par cette caresse. Je m'enlève donc et je recommence à me masturber, mais cette fois, j'enlève mon pyjama et ma camisole au complet. Je me met face à elle et je me caresse en la regardant. Elle fini par placer sa main sur son sein mais ne se caresse pas. Je lui demande si elle veut que je lui montre. Elle me fait un petit signe de oui.
Je m'approche d'elle et enlève son t-shirt. Je caresse doucement ses seins, du bout des doigts puis du bout des lèvres. J'ouvre la bouche pour laisser entrer le mamelon durcis par l'excitation alors que je la sens trembler sous ces caresses. Mais main descend entre ses cuisses pour entrer dans sa culotte et commencer à caresser. J'avoue avoir été surprise par la chaleur et l'humidité que j'y ai trouvée, elle était vraiment excitée. J'ai alors commencée à la masturbée tout en continuant à jouer avec ses seins et à les lècher en même temps. Je peux vous dire qu'après moins de dix minutes sous mes caresses elle avait déjà jouis. Je sentais ses mains s'agripper à mon bras, son corps se raidir complètement, elle semblait presqu'en panique de ce que je lui faisait sentir et elle a jouit tellement fort que j'ai faillis en tomber en bas du sofa.
Elle semblait morte, toute molle, mais souriante. Elle m'a même remerciée, une larme à l'oeil. Je lui ai dit que c'était beau tout ça mais que moi je n'avais pas jouis. Je me suis alors replacé à l'autre bout du sofa et en la regardant, écartée, halètante, les cheuveux ébourifés, je me suis caressée. Elle en est même venue à s'approcher et à me toucher les seins pendant que je me masturbait. Inutile de vous dire que j'étais vraiment excitée. Et lorsque je l'ai vue mettre sa main sur sa chatte pour se caresser à nouveau, j'ai explosée et j'ai jouis sous une vague de plaisir intense. Mais elle, toujours à quattre patte devant moi, semblait parti, en transe, elle s'amusait avec son corps. Je me suis donc hissée hors du sofa, puisque j'étais à moitié sous elle pour aller me placer à genoux à côté d'elle pour profiter au maximum de sa poitrine sous l'effet de la gravité. Elle n'avais pas beaucoup de seins, mais dans cette position, ils remplissaient bien mes mains. La sentant de plus en plus sur le bord, je suis allée me placer derrière elle et j'ai inséré un doigt dans sa chatte pendant qu'elle se masturbait. Elle semblait de plus en plus près de l'orgasme et manquait de force, tellement, qu'elle s'est laissée choire le visage applatit sur le sofa, mais toujours le petit cul dans les airs. C'en était trop pour moi. Elle avait tellement un beau petit derrière que je n'ai pas pu m'empêcher d'insérer ma langue entre ses deux lobes de fesses si douces. Encore une fois, j'eus l'impressions qu'un éclair avait traversé son corps et elle se mit à gémir très fort avec de petits cri à chaque coups de langue et mouvement de mon doigts inséré dans son sexe. Elle fini par jouir en tremblant de tout son corps, serrant les cuisses tellement fort que j'eus peur de perdre mon bras. Je finis donc de lui lècher le cul pour la voir tomber, toute molle sur le sofa.
Elle avait les yeux fermés, ne bougeais plus et ressemblais à un ange. Je suis allé chercher une couverture, j'ai fermé la télé et je l'ai laissée dormir alors que j'allais chercher mon vibrateur pour me donner encore un peu de plaisir, je n'étais pas rassasiée après avoir vu tout ça, j'en voulais encore. Je peux vous dire que je me suis amusée pendant au moins une demi heure.
Et lorsqu'elle s'est réveillée, gênée, mais toute de même épanouie, elle m'a remerciée et demandé si elle pouvait revenir couché ici bientôt, seule. Évidement, vous pouvez être certains que j'ai dit oui, j'ai bien d'autres choses à lui apprendre.
mercredi 7 novembre 2007
Une p'tite vite
J'ai une colloque depuis quelques mois, en fait, c'est une bonne amie à moi. On ne s'était pas parlée depuis longtemps. Vous savez ce que c'est, vous baisez avec votre amie et ensuite, il y a un froid. Nous avions déjà baisée plusieurs fois ensemble, mais le destin nous avaient séparées. Alors qu'elle me rappelle vers la fin de l'été, elle est dans la merde. Son chum l'a sacré là et elle n'a pas de place ou aller. Comme j'ai un grand coeur, je l'ai invitée dans le miens. Mon appart est petit, mais il y a deux chambre. Je lui ai donc prêté celle qui me servait de bureau.
Pendant longtemps, on dirait qu'il y avait un froid entre nous, une certaine distance s'était installée. On déjeunait ensemble le matin, en se posant les questions habituelles sur notre sommeil, notre journée à venir et on ne se revoyait pas avant tard le soir, ça c'est si on se croisait.
Mais hier soir, petite soirée anodine ou je n'avais rien à faire et S. n'était pas là, elle sort presque tous les soirs avec des amis, c'est ça la nouvelle vie de célibataire, je m'étais donc mise en robe de chambre, pris un verre de vin et me préparait à aller me doucher. En me déshabillant dans la salle de bain, je remarquai mon poil pubien qui commençait déjà à paraître. Alors sans trop attendre, j'ouvris la douche et en m'asseyant sur le bord du bain, je mis un peu de crême hydratante à raser un peu partout autour de ma chatte. Je voulais tout enlever, même le petit triangle que j'avais laissé la dernière fois. J'avais laissé la porte de la salle de bain ouverte, comme j'étais seule et je n'ai pas entendu mon amie, S., entrer. Alors que je m'affèrait à raser le tour des grandes lèvres elle arriva, en trombe, sans avertir. Lorsqu'elle me vit dans cette position, je me mis à rougir, sachant le froid qu'il y avait entre nous, j'ai bien cru que cela ne ferait qu'empirer. Mais lorsque j'ai vu son doit se poser sur sa lèvre et son regard qui ne quittait pas mon entre cuisse, j'eus alors un regain de confiance. Je me suis alors écartée un peu plus et j'ai continuée ma besogne. Elle s'approcha de moi et me dit "Tu en as oublié un peu là! Donne je vais t'aider" et sans même attendre, elle prit le rasoir de mes mains pour parfaire mes contours.
Alors que je sentais la lame du rasoir parcourir ma peau, je sentis sa langue se déposer sur mon sexe, causant un éclair dans tout mon corps. Je ne m'attendais vraiment pas à ça, même si tout au long du rasage, elle avait le visage assez proche. Sa langue commença à farfouiller ma chatte en quête du bouton rosé. Et elle le trouva sans peine, faisant aller sa langue autour puis dessus, j'en vint à jouir au bout de 5 minutes pas plus. Elle se releva ensuite d'un bon, s'essuyant le visage d'une main et me tendant le rasoir de l'autre. Elle se tourna pour ramasser sa pompe à asthme sur le lavabo, me le montrant comme l'objet qu'elle venait chercher et d'un baiser souffler, elle quitta la chambre de bain en trombe. J'entendis la porte de l'appart fermer quelque secondes plus tard et le verrou tout de suite après.
Et moi, j'étais sur le bord du bain, toute napée du blanc de la crême, écartée, la tête en arrière, mouillée par la douche qui me coulait sur le visage, les seins bien durs pointés vers le haut. Inutile de vous dire ce que j'ai fait dans la douche par la suite. J'ai bien du jouir au moins 2 ou 3 autres fois. Mais l'essentiel, c'est que ma petite chatte est bien rasée et surtout, que mon amie m'aime encore. J'espère bien pouvoir lui rendre la pareil bientôt!
Pendant longtemps, on dirait qu'il y avait un froid entre nous, une certaine distance s'était installée. On déjeunait ensemble le matin, en se posant les questions habituelles sur notre sommeil, notre journée à venir et on ne se revoyait pas avant tard le soir, ça c'est si on se croisait.
Mais hier soir, petite soirée anodine ou je n'avais rien à faire et S. n'était pas là, elle sort presque tous les soirs avec des amis, c'est ça la nouvelle vie de célibataire, je m'étais donc mise en robe de chambre, pris un verre de vin et me préparait à aller me doucher. En me déshabillant dans la salle de bain, je remarquai mon poil pubien qui commençait déjà à paraître. Alors sans trop attendre, j'ouvris la douche et en m'asseyant sur le bord du bain, je mis un peu de crême hydratante à raser un peu partout autour de ma chatte. Je voulais tout enlever, même le petit triangle que j'avais laissé la dernière fois. J'avais laissé la porte de la salle de bain ouverte, comme j'étais seule et je n'ai pas entendu mon amie, S., entrer. Alors que je m'affèrait à raser le tour des grandes lèvres elle arriva, en trombe, sans avertir. Lorsqu'elle me vit dans cette position, je me mis à rougir, sachant le froid qu'il y avait entre nous, j'ai bien cru que cela ne ferait qu'empirer. Mais lorsque j'ai vu son doit se poser sur sa lèvre et son regard qui ne quittait pas mon entre cuisse, j'eus alors un regain de confiance. Je me suis alors écartée un peu plus et j'ai continuée ma besogne. Elle s'approcha de moi et me dit "Tu en as oublié un peu là! Donne je vais t'aider" et sans même attendre, elle prit le rasoir de mes mains pour parfaire mes contours.
Alors que je sentais la lame du rasoir parcourir ma peau, je sentis sa langue se déposer sur mon sexe, causant un éclair dans tout mon corps. Je ne m'attendais vraiment pas à ça, même si tout au long du rasage, elle avait le visage assez proche. Sa langue commença à farfouiller ma chatte en quête du bouton rosé. Et elle le trouva sans peine, faisant aller sa langue autour puis dessus, j'en vint à jouir au bout de 5 minutes pas plus. Elle se releva ensuite d'un bon, s'essuyant le visage d'une main et me tendant le rasoir de l'autre. Elle se tourna pour ramasser sa pompe à asthme sur le lavabo, me le montrant comme l'objet qu'elle venait chercher et d'un baiser souffler, elle quitta la chambre de bain en trombe. J'entendis la porte de l'appart fermer quelque secondes plus tard et le verrou tout de suite après.
Et moi, j'étais sur le bord du bain, toute napée du blanc de la crême, écartée, la tête en arrière, mouillée par la douche qui me coulait sur le visage, les seins bien durs pointés vers le haut. Inutile de vous dire ce que j'ai fait dans la douche par la suite. J'ai bien du jouir au moins 2 ou 3 autres fois. Mais l'essentiel, c'est que ma petite chatte est bien rasée et surtout, que mon amie m'aime encore. J'espère bien pouvoir lui rendre la pareil bientôt!
jeudi 18 octobre 2007
Une escapade au golf
Je vais vous avouer bien franchement que je n'aime pas le golf, mais j'ai bien aimé ma journée. C'était l'occasion idéale pour mettre ma petite jupe carrotée d'écolière. En plus, comme c'était au mois de juillet et qu'il faisait très chaud, j'ai alors décidé de ne rien porter en dessous. Pour le haut, une simple petite camisole moulante et une demi casquette sur la tête, pour me protéger du soleil bien sûr.
Toujours est-il que je m'y étais retrouvé par invitation d'un collègue de bureau. Lui et deux de ses amis jouaient au golf assez souvent, ils étaient donc des pros comparés à moi. Mais ils m'ont dit que ça n'avait pas d'importance et qu'on se pairait du bon temps. Le matin même de cette fameuse journée, mon compagnon de bureau arriva en auto avec un seul ami. Je lui demandai ou étais l'autre alors que je montais dans la voiture, sous leurs regards élargis et contemplant mes longues jambes sous ma courte jupe. Il me dit alors, reprenant ses esprit, qu'il ne viendrait pas, sa blonde étant malade et il devait s'occuper de son fils de 3 mois.
Finalement arrivé sur le terrain, le temps commença à se couvrir avant même que j'eu le temps de "swigner" dans le vide en essayant de tapper la balle le plus loin possible. Mais les garçons ont alors décidés de continuer à jouer, que ça ne se gâterais pas. Mais le vent se leva et plusieurs autres joueurs quitterent le terrain. Bizarrement, les deux gars se tenaient souvent derrière moi, probablement dans l'espoir que le vent l'emporte sur ma jupe. Même mon décolleté ne les intéressait pas autant, même en me penchant pour frapper la balle.
Finalement, mon premier coup, bien que faible, garda quand même une ligne assez droite. Ils me dire de garder cette position, mais de frapper plus fort. Leurs coups étaient bien plus puissants et ce fut à moi de rejouer. Mon deuxième coup, bien plus fort, fut beaucoup moins droit et alla loger la balle directement dans le petit boisé à notre gauche. On me dit alors qu'il fallait que j'aille la chercher. Je partis alors dans le petit bois, sautillant comme une gazelle, m'imaginant leurs regards hargard et leurs sourire niais en voyant ma jupe relever juste un peu, mais pas assez pour me dévoiler. Mais malheur, je ne trouvais pas ma balle. Je me mis alors à crier, requerant leurs aide et je les vois alors se précipiter tous les deux vers moi.
Nous continuames alors nos recherches à trois. Alors que j'étais penchée pour chercher dans l'herbe haute, je ne m'aperçu pas que ma jupe était trop levée et révélait mon intimité féminine. C'est en me retournant, alors que j'ai vu le visage des deux gars que j'ai compris. Disons que l'air frais caressant mes partis m'avait déjà donné une bonne idée sur mon dévoilement. Je continuai donc ce que je faisais en bougeant mes hanches de gauche à droite. Il n'en fallu pas plus pour sentir une main se poser sur ma croupe et commencer rapidement une caresse sur mes fesses. Il a dû être agréablement surpris lorsqu'il a remaqué que je me penchais encore plus. Ça ne lui en prenait pas plus pour que, la tête penchée par terre, je remarque entre mes jambes ouverte, son pantalon tomber sur le sol. Il n'a pas eu besoin de faire grand chose pour s'insérer en moi. Je sentis alors son membre viril pénétrer d'un coup sec mon petit sexe humide. Puis il se mit en cadence à me donner des coups de hanches en me tenant bien par les miennes. Ses mains seraient ma peau comme des poignées de moto. C'est alors que j'ai vu son ami s'avancer vers moi, le pantalon toujours relevé, mais le sexe sorti par la fermeture éclaire. Il le tenait dans sa main et se masturbait en nous regardant.
Je lui ai alors fait signe de s'approcher en me lèchant les lèvres. J'ai baissé ma camisole sous mes seins et alors que l'un me baisais par derrière, je pris l'autre en bouche, entièrement, commençant un mouvement de langue autour de son gland. D'une main je tenais son sexe dans ma bouche et de l'autre, je m'aggripais à son pantalon pour ne pas tomber sous la force des coups de mon compagnon de bureau. Alors que je le suçais de mon mieux, le cochon m'a écaculé dans la bouche sans prévenir. Je n'aime vraiment pas ce genre de surprise, mais je ne pouvais pas lui gâcher son plaisir sur le moment.
J'ai donc tout avalé, mais il ne perdait rien pour attendre. Alors que mon ami travailleur me travaillais le sexe et je l'entendais râler comme un orignal alors que je sentis toute sa semance chaude coulée entre mes cuisses. Je me mis à embrasser son ami, pour qu'il goûte un peu à son sperme, mais encore pire, je l'ai couché dans l'herbe, j'ai joué un peu avec son membre pour le refaire gonflé et à l'aide du sperme coulant d'entre mes cuisses, je me suis lubrifié l'anus pour l'y inséré. Alors qu'il me sodomisait avec force, je me mis à sucer mon compagnon de bureau qui se tenait debout non loin de là. Et avant que son ami jouisse dans mon cul, je me suis approché la chatte au dessus de sa bouche en lui disant "fais moi jouir avant, si tu veux jouir dans mon cul" et le salaud, il l'a fait. Ça devait encore goûter le sperme de son ami, mais moi je m'en foutais.
Je repris mon coworker en bouche alors que son ami allait me faire jouir avec sa langue. Cette fois, j'étais trop allumée pour me soucier qu'il vienne dans ma bouche. Pendant que mon orgasme montait, j'ai reçus la première giclée de son plaisir dans ma gorge. Cela eu pour effet d'augmenter le plaisir alors que je jouissais sur la langue de son ami. Une fois fait, je me suis mise à quattre patte, regardant ce même ami et lui disant "Allez, viens dans mon cul, tu as gagné ta récompense." Il ne s'est alors pas fait prié, et il n'en fallu pas plus que 4 ou 5 coup pour sentir son membre se gonfler entre mes fesses avant de me décharger son orgasme à l'intérieur de mon cul.
Disons que les petits lac près des "greens" sont très pratique pour se remettre un peu d'une escapade dans les boisés. Mais la morale de cette histoire, je n'ai jamais retrouvé ma balle et nous n'avons jamais fini le parcours.
Toujours est-il que je m'y étais retrouvé par invitation d'un collègue de bureau. Lui et deux de ses amis jouaient au golf assez souvent, ils étaient donc des pros comparés à moi. Mais ils m'ont dit que ça n'avait pas d'importance et qu'on se pairait du bon temps. Le matin même de cette fameuse journée, mon compagnon de bureau arriva en auto avec un seul ami. Je lui demandai ou étais l'autre alors que je montais dans la voiture, sous leurs regards élargis et contemplant mes longues jambes sous ma courte jupe. Il me dit alors, reprenant ses esprit, qu'il ne viendrait pas, sa blonde étant malade et il devait s'occuper de son fils de 3 mois.
Finalement arrivé sur le terrain, le temps commença à se couvrir avant même que j'eu le temps de "swigner" dans le vide en essayant de tapper la balle le plus loin possible. Mais les garçons ont alors décidés de continuer à jouer, que ça ne se gâterais pas. Mais le vent se leva et plusieurs autres joueurs quitterent le terrain. Bizarrement, les deux gars se tenaient souvent derrière moi, probablement dans l'espoir que le vent l'emporte sur ma jupe. Même mon décolleté ne les intéressait pas autant, même en me penchant pour frapper la balle.
Finalement, mon premier coup, bien que faible, garda quand même une ligne assez droite. Ils me dire de garder cette position, mais de frapper plus fort. Leurs coups étaient bien plus puissants et ce fut à moi de rejouer. Mon deuxième coup, bien plus fort, fut beaucoup moins droit et alla loger la balle directement dans le petit boisé à notre gauche. On me dit alors qu'il fallait que j'aille la chercher. Je partis alors dans le petit bois, sautillant comme une gazelle, m'imaginant leurs regards hargard et leurs sourire niais en voyant ma jupe relever juste un peu, mais pas assez pour me dévoiler. Mais malheur, je ne trouvais pas ma balle. Je me mis alors à crier, requerant leurs aide et je les vois alors se précipiter tous les deux vers moi.
Nous continuames alors nos recherches à trois. Alors que j'étais penchée pour chercher dans l'herbe haute, je ne m'aperçu pas que ma jupe était trop levée et révélait mon intimité féminine. C'est en me retournant, alors que j'ai vu le visage des deux gars que j'ai compris. Disons que l'air frais caressant mes partis m'avait déjà donné une bonne idée sur mon dévoilement. Je continuai donc ce que je faisais en bougeant mes hanches de gauche à droite. Il n'en fallu pas plus pour sentir une main se poser sur ma croupe et commencer rapidement une caresse sur mes fesses. Il a dû être agréablement surpris lorsqu'il a remaqué que je me penchais encore plus. Ça ne lui en prenait pas plus pour que, la tête penchée par terre, je remarque entre mes jambes ouverte, son pantalon tomber sur le sol. Il n'a pas eu besoin de faire grand chose pour s'insérer en moi. Je sentis alors son membre viril pénétrer d'un coup sec mon petit sexe humide. Puis il se mit en cadence à me donner des coups de hanches en me tenant bien par les miennes. Ses mains seraient ma peau comme des poignées de moto. C'est alors que j'ai vu son ami s'avancer vers moi, le pantalon toujours relevé, mais le sexe sorti par la fermeture éclaire. Il le tenait dans sa main et se masturbait en nous regardant.
Je lui ai alors fait signe de s'approcher en me lèchant les lèvres. J'ai baissé ma camisole sous mes seins et alors que l'un me baisais par derrière, je pris l'autre en bouche, entièrement, commençant un mouvement de langue autour de son gland. D'une main je tenais son sexe dans ma bouche et de l'autre, je m'aggripais à son pantalon pour ne pas tomber sous la force des coups de mon compagnon de bureau. Alors que je le suçais de mon mieux, le cochon m'a écaculé dans la bouche sans prévenir. Je n'aime vraiment pas ce genre de surprise, mais je ne pouvais pas lui gâcher son plaisir sur le moment.
J'ai donc tout avalé, mais il ne perdait rien pour attendre. Alors que mon ami travailleur me travaillais le sexe et je l'entendais râler comme un orignal alors que je sentis toute sa semance chaude coulée entre mes cuisses. Je me mis à embrasser son ami, pour qu'il goûte un peu à son sperme, mais encore pire, je l'ai couché dans l'herbe, j'ai joué un peu avec son membre pour le refaire gonflé et à l'aide du sperme coulant d'entre mes cuisses, je me suis lubrifié l'anus pour l'y inséré. Alors qu'il me sodomisait avec force, je me mis à sucer mon compagnon de bureau qui se tenait debout non loin de là. Et avant que son ami jouisse dans mon cul, je me suis approché la chatte au dessus de sa bouche en lui disant "fais moi jouir avant, si tu veux jouir dans mon cul" et le salaud, il l'a fait. Ça devait encore goûter le sperme de son ami, mais moi je m'en foutais.
Je repris mon coworker en bouche alors que son ami allait me faire jouir avec sa langue. Cette fois, j'étais trop allumée pour me soucier qu'il vienne dans ma bouche. Pendant que mon orgasme montait, j'ai reçus la première giclée de son plaisir dans ma gorge. Cela eu pour effet d'augmenter le plaisir alors que je jouissais sur la langue de son ami. Une fois fait, je me suis mise à quattre patte, regardant ce même ami et lui disant "Allez, viens dans mon cul, tu as gagné ta récompense." Il ne s'est alors pas fait prié, et il n'en fallu pas plus que 4 ou 5 coup pour sentir son membre se gonfler entre mes fesses avant de me décharger son orgasme à l'intérieur de mon cul.
Disons que les petits lac près des "greens" sont très pratique pour se remettre un peu d'une escapade dans les boisés. Mais la morale de cette histoire, je n'ai jamais retrouvé ma balle et nous n'avons jamais fini le parcours.
jeudi 4 octobre 2007
Hier soir...
Hier soir je me suis masturbée, en pensant à toi. En fait, j'ai été inspirée par un petit vidéo trouvé sur internet. Je voyais une femme, découvrant son mari la trompant avec une jeune fille dont je n'ai aucune idée de la provenance, mais le fait est, que évidement, comme c'est un film de cul, la femme décide de forcer son mari à la baiser pendant qu'elle regarde.
Ça m'a vraiment excitée, ça me rappelait notre soirée d'il y a quoi, deux ans!
Je te voulais ouvertement, mais tu m'avais dit ne pas être vraiment aux femmes. J'acceptais le refus mais sans abandonner à pouvoir un jour te convaincre. Et c'est cette fois, où tu m'as exposé ton fantasme de me voir baiser avec ton chum. J'ai accepté à une seule condition, que lorsque je me serais exécutée devant tes yeux de cochonne, tu allais venir me rejoindre alors que ton chum lui prendrait la place de voyeur. Tout cela étant convenu. Je me rappelle lorsque je suis arrivée chez vous, la gêne, même la peur.
Il a fallu beaucoup de temps et un peu d'alcool avant que tu te décides, les joues toutes rouges à nous dire "Et si on passait à la chambre". Évidement, on aurait pu le faire au salon ou ailleur, mais je crois que c'est la seule façon que tu as eu de nous demander de commencer.
Ton chum était vraiment très excité et je n'ai pas aidé en t'embrassant avant d'aller le rejoindre. Je l'ai laissé prendre les choses en main alors qu'il commença à me déshabiller tout en embrassant mon cou et mon épaule. Une fois toute nue, je me suis couchée sur le dos, j'ai écartée les jambes et je lui ai fait signe de s'approcher avec mon doit. Il a déposé sa langue sur ma chatte déjà humide et il a commencé à me lècher frénétiquement. Mes doigt dans ses cheveux m'aidaient à le garder en place et même à le pousser à appuyer encore plus. Je le dirigeais tel un cheval soumis à mes moindres désires. Mais j'étais loin de savoir à quel point il pouvait se rapprocher d'un vrai cheval. Mais alors qu'il se recula pour se dévêtir à son tour, lorsque j'ai vu la taille de son membre, ça m'a fait mal avant même qu'il entre.
Alors je me suis retournée, à quatre patte, me disant qu'en ne le voyant pas, j'aurais moins mal. Il s'approcha de moi, et plaqua la pointe de son gland à l'entrée de mon vagin. Je le sentais monté et descendre entre ma chatte et mon anus. Je me suis retournée et je lui ai dit d'oublier mon ptit cul avec la grosseur de son membre, il n'en était pas question. Il se glissa alors avec force dans ma chatte presque prête. Je l'avoue, ça m'a fait mal au début, mais après quelque mouvement de ses hanches, je commençai à y prendre plaisir. Et le cochon, de jouir en moi sans avertissements! Je l'ai alors réprimandé et en voyant qu'il avait voulu m'enculer, je lui ai dit de bien me lècher le cul pour le lubrifier et d'y entrer un doigt puis deux. Pendant qu'il s'exécutait, j'en profitai pour me masturber et en faire de même avec son gros engin. Il commençait déjà à reprendre du volume. Alors qu'il glissait ses deux doigts dans mon derrière, je lui dit que j'étais enfin prête et qu'il pouvait y aller. Il semblait comme un gamin tout excité. Il se releva et tenant sa queue dans sa main, commença à l'insérer dans mon cul. Oh je peux vous dire que c'était encore plus douloureux que dans l'autre trou, mais je savais que ça deviendrait intéressant. Cette fois, il était plus doux. J'en profitai pour te jetter un coup d'oeil pour m'appercevoir que tu n'avais pas perdu de temps, tu te caressais déjà et semblais près d'un orgasme que je ne voulais pas manqué.
Alors que ton chum me pénétrait pas derrière, mes yeux ne t'on pas quitté jusqu'à ce que je te vois jouir. En t'entendant, je crois que l'effet s'est fait vite sentir puisque j'ai senti le sperme chaud de ton étalon couler dans mes fesses.
Alors que vous repreniez tous les deux vos esprits, je me suis rendu à la salle de bain histoire de me rafraîchir un peu et me nettoyer de toute cette période. Ensuite je suis revenue à la chambre ou tu attendais toujours, assise, l'air fuyante. Je t'ai prise par la main, je t'ai menée vers le lit et je t'ai embrasser longuement. Tu ne bougeais presque pas, j'ai dû prendre tes mains pour les déposer sur mes seins. Ton souffle s'est accéléré pendant que je te déshabillais complètement. Je t'ai alors couchée sur le lit pour parcourir ton corps tout entier de mes mains et de ma bouche. J'ai sentis ton corps commençant à frissonner sous chacun de mes baiser. Lorsque ma bouche atteignait tes seins, tes reins se cambraient pour me démontrer que tu aimais cette caresses. Je me suis alors attardée un peu plus sur le mamelon de tes seins pointus et fermes. Ma main pendant ce temps à glissée entre tes cuisses pour commencer à caresser doucement ta chatte. J'ai senti le soubresault indiquant ton malaise mais en même temps le plaisir éprouvé. J'ai alors commencé à te masturber doucement du bout du doigt. Ça glissait bien, tu étais déjà très humides de m'avoir vue baiser ton chum. Mais comme je n'avais pas encore jouis, j'étais vraiment excitée moi aussi, j'avais vraiment envie de toi. Je sentais aussi le plaisir monté dans ton corps si doux, si beau, alors que je lèchais tes seins et que je les suçais de temps en temps. Quel plaisir de te voir gémir alors que tu semblais sur le bord de jouir, pour enfin sentir la vague déferlante de ton orgasme tout le long de ton corps, bien collé au miens, sous la caresse de mes doigts.
Je me suis ensuite couchée près de toi, les jambes ouvertes en te montrant ce que tu devrais me faire. Tu me faisais signe de non de la tête et j'ai dû te rappeler notre pacte. Tu t'es alors dirigée vers mon entre-cuisse mais en approchant le tiens timidement de ma bouche. Alors j'ai sû que tu souhaitais, tant qu'à faire ta première expérience lesbienne, faire un soixante neuf en règle. Je n'avais pas de problème. Mais j'ai attendu que tu déposes ta petite langue rose et douce sur mon clitoris qui criait pour qu'on s'occupe de lui. Ce fut comme un choc électrique tellement j'en avais envie. Et même si tu me lèchais timidement, j'étais tellement excitée que c'était assez pour m'amener vers l'orgasme. Alors comme j'aimais tes caresses bucales, je me suis mises à te lècher moi aussi. J'ai même dû arrêter un peu pour te laisser me manger comme il faut. Tu soupirais tellement que tu abandonnais ton travail en cours. J'en ai profiter pour me laisser aller et sentir l'orgasme monter en moi alors que ta langue se promenait dans ma vulve toute humide. J'ai presqu'eu peur de t'avoir brisé les reins tellement je t'ai serré fort alors que je jouissais sous les caresses de ta langue. Et après avoir repris mon souffle, je me suis dit que tu méritais le même traitement. C'était tellement bon de te voir à quattre patte par dessus moi, toute offerte, obéissante à mes moindres désires. Je me suis donnée au maximum pour t'offrir un orgasme digne d'une caresse féminine et que tu as semblé apprécié.
Alors que tu semblais morte après cette deuxième jouissance, j'en ai profitée pour me blotire contre ton corps et bien abuser de toi. Je t'ai caressée partout, j'ai goûté à nouveau à tous tes racoins pour te laisser dans le lit, à moitié endormis, souriante, avec un regard différent sur le monde. Ton chum est allé te rejoindre, mais je suis sortit avant de voir tout ce que vous aviez pu faire par la suite. Mais à ce que je sais, ton chum en a profiter pour abuser lui aussi de ton manque d'énergie pour satisfaire ses bas instincts. Faut dire que nos ébats l'avait plutôt rendu assez en manque, même après ce que je lui avait laissé faire. Ah les hommes.
Mais même si tu ne veux plus recommencer ce genre d'expérience, moi je garde un bon souvenir de cette soirée.
Ça m'a vraiment excitée, ça me rappelait notre soirée d'il y a quoi, deux ans!
Je te voulais ouvertement, mais tu m'avais dit ne pas être vraiment aux femmes. J'acceptais le refus mais sans abandonner à pouvoir un jour te convaincre. Et c'est cette fois, où tu m'as exposé ton fantasme de me voir baiser avec ton chum. J'ai accepté à une seule condition, que lorsque je me serais exécutée devant tes yeux de cochonne, tu allais venir me rejoindre alors que ton chum lui prendrait la place de voyeur. Tout cela étant convenu. Je me rappelle lorsque je suis arrivée chez vous, la gêne, même la peur.
Il a fallu beaucoup de temps et un peu d'alcool avant que tu te décides, les joues toutes rouges à nous dire "Et si on passait à la chambre". Évidement, on aurait pu le faire au salon ou ailleur, mais je crois que c'est la seule façon que tu as eu de nous demander de commencer.
Ton chum était vraiment très excité et je n'ai pas aidé en t'embrassant avant d'aller le rejoindre. Je l'ai laissé prendre les choses en main alors qu'il commença à me déshabiller tout en embrassant mon cou et mon épaule. Une fois toute nue, je me suis couchée sur le dos, j'ai écartée les jambes et je lui ai fait signe de s'approcher avec mon doit. Il a déposé sa langue sur ma chatte déjà humide et il a commencé à me lècher frénétiquement. Mes doigt dans ses cheveux m'aidaient à le garder en place et même à le pousser à appuyer encore plus. Je le dirigeais tel un cheval soumis à mes moindres désires. Mais j'étais loin de savoir à quel point il pouvait se rapprocher d'un vrai cheval. Mais alors qu'il se recula pour se dévêtir à son tour, lorsque j'ai vu la taille de son membre, ça m'a fait mal avant même qu'il entre.
Alors je me suis retournée, à quatre patte, me disant qu'en ne le voyant pas, j'aurais moins mal. Il s'approcha de moi, et plaqua la pointe de son gland à l'entrée de mon vagin. Je le sentais monté et descendre entre ma chatte et mon anus. Je me suis retournée et je lui ai dit d'oublier mon ptit cul avec la grosseur de son membre, il n'en était pas question. Il se glissa alors avec force dans ma chatte presque prête. Je l'avoue, ça m'a fait mal au début, mais après quelque mouvement de ses hanches, je commençai à y prendre plaisir. Et le cochon, de jouir en moi sans avertissements! Je l'ai alors réprimandé et en voyant qu'il avait voulu m'enculer, je lui ai dit de bien me lècher le cul pour le lubrifier et d'y entrer un doigt puis deux. Pendant qu'il s'exécutait, j'en profitai pour me masturber et en faire de même avec son gros engin. Il commençait déjà à reprendre du volume. Alors qu'il glissait ses deux doigts dans mon derrière, je lui dit que j'étais enfin prête et qu'il pouvait y aller. Il semblait comme un gamin tout excité. Il se releva et tenant sa queue dans sa main, commença à l'insérer dans mon cul. Oh je peux vous dire que c'était encore plus douloureux que dans l'autre trou, mais je savais que ça deviendrait intéressant. Cette fois, il était plus doux. J'en profitai pour te jetter un coup d'oeil pour m'appercevoir que tu n'avais pas perdu de temps, tu te caressais déjà et semblais près d'un orgasme que je ne voulais pas manqué.
Alors que ton chum me pénétrait pas derrière, mes yeux ne t'on pas quitté jusqu'à ce que je te vois jouir. En t'entendant, je crois que l'effet s'est fait vite sentir puisque j'ai senti le sperme chaud de ton étalon couler dans mes fesses.
Alors que vous repreniez tous les deux vos esprits, je me suis rendu à la salle de bain histoire de me rafraîchir un peu et me nettoyer de toute cette période. Ensuite je suis revenue à la chambre ou tu attendais toujours, assise, l'air fuyante. Je t'ai prise par la main, je t'ai menée vers le lit et je t'ai embrasser longuement. Tu ne bougeais presque pas, j'ai dû prendre tes mains pour les déposer sur mes seins. Ton souffle s'est accéléré pendant que je te déshabillais complètement. Je t'ai alors couchée sur le lit pour parcourir ton corps tout entier de mes mains et de ma bouche. J'ai sentis ton corps commençant à frissonner sous chacun de mes baiser. Lorsque ma bouche atteignait tes seins, tes reins se cambraient pour me démontrer que tu aimais cette caresses. Je me suis alors attardée un peu plus sur le mamelon de tes seins pointus et fermes. Ma main pendant ce temps à glissée entre tes cuisses pour commencer à caresser doucement ta chatte. J'ai senti le soubresault indiquant ton malaise mais en même temps le plaisir éprouvé. J'ai alors commencé à te masturber doucement du bout du doigt. Ça glissait bien, tu étais déjà très humides de m'avoir vue baiser ton chum. Mais comme je n'avais pas encore jouis, j'étais vraiment excitée moi aussi, j'avais vraiment envie de toi. Je sentais aussi le plaisir monté dans ton corps si doux, si beau, alors que je lèchais tes seins et que je les suçais de temps en temps. Quel plaisir de te voir gémir alors que tu semblais sur le bord de jouir, pour enfin sentir la vague déferlante de ton orgasme tout le long de ton corps, bien collé au miens, sous la caresse de mes doigts.
Je me suis ensuite couchée près de toi, les jambes ouvertes en te montrant ce que tu devrais me faire. Tu me faisais signe de non de la tête et j'ai dû te rappeler notre pacte. Tu t'es alors dirigée vers mon entre-cuisse mais en approchant le tiens timidement de ma bouche. Alors j'ai sû que tu souhaitais, tant qu'à faire ta première expérience lesbienne, faire un soixante neuf en règle. Je n'avais pas de problème. Mais j'ai attendu que tu déposes ta petite langue rose et douce sur mon clitoris qui criait pour qu'on s'occupe de lui. Ce fut comme un choc électrique tellement j'en avais envie. Et même si tu me lèchais timidement, j'étais tellement excitée que c'était assez pour m'amener vers l'orgasme. Alors comme j'aimais tes caresses bucales, je me suis mises à te lècher moi aussi. J'ai même dû arrêter un peu pour te laisser me manger comme il faut. Tu soupirais tellement que tu abandonnais ton travail en cours. J'en ai profiter pour me laisser aller et sentir l'orgasme monter en moi alors que ta langue se promenait dans ma vulve toute humide. J'ai presqu'eu peur de t'avoir brisé les reins tellement je t'ai serré fort alors que je jouissais sous les caresses de ta langue. Et après avoir repris mon souffle, je me suis dit que tu méritais le même traitement. C'était tellement bon de te voir à quattre patte par dessus moi, toute offerte, obéissante à mes moindres désires. Je me suis donnée au maximum pour t'offrir un orgasme digne d'une caresse féminine et que tu as semblé apprécié.
Alors que tu semblais morte après cette deuxième jouissance, j'en ai profitée pour me blotire contre ton corps et bien abuser de toi. Je t'ai caressée partout, j'ai goûté à nouveau à tous tes racoins pour te laisser dans le lit, à moitié endormis, souriante, avec un regard différent sur le monde. Ton chum est allé te rejoindre, mais je suis sortit avant de voir tout ce que vous aviez pu faire par la suite. Mais à ce que je sais, ton chum en a profiter pour abuser lui aussi de ton manque d'énergie pour satisfaire ses bas instincts. Faut dire que nos ébats l'avait plutôt rendu assez en manque, même après ce que je lui avait laissé faire. Ah les hommes.
Mais même si tu ne veux plus recommencer ce genre d'expérience, moi je garde un bon souvenir de cette soirée.
jeudi 27 septembre 2007
Confession
Plus jeune, disons à l'adolescence, je fantasmais sur ma cousine de 2 ans plus vieille que moi. Et pendant un été, au chalet de mes parents, je l'avais invitée à venir passer du temps avec notre famille. Pour dormir, il avait été convenu qu'elle dormirait avec moi dans mon lit, puisque j'avais un lit double et qu'elle ne pouvait ni dormir avec mes parents, mon frère ou ma soeur trop jeune à l'époque.
La première nuit, j'ai attendu qu'elle dorme et je me suis approché un peu plus d'elle sous les couvertures. Petit à petit, ma jambe s'est retrouvée collée à la sienne. J'ai senti sa peau douce et ça m'a tout de suite fait de l'effet. Un petit éclair a traversé mon corps en partant de mon entre-jambe. Je dois vous avouer que lorsque j'ai vu qu'elle ne se réveillait pas, je me suis approchée d'avantage. J'ai même poussé l'audace jusqu'à caresser ses seins, de taille moyenne, mais très ferme et si doux. Je me rappelle encore de l'effet que ça m'a fait et surtout, qu'il m'ait été impossible de garder ma petite culotte sèche à ce moment là. Je sentais ses mamelons durcir sous mes caressses, toujours en vérifiant si elle dormait. J'étais tellement excitée que je faisais de moins en moins attention. Tant qu'à avoir découver le plaisir de caresser les seins d'une autre fille, je n'allais pas m'arrêter là. Ma main à tout de suis glissée entre ses cuisse pour y découvrir une zone douce et brûlante. Je n'osais pas aller sous le tissus. Je la caressais par dessus et ça m'excitait déjà à en mourir. Je n'ai pas pu m'empêcher de me masturber en continuant ma caresse sur son sexe. J'ai eu de la difficulté à jouir en silence tellement c'était bon. Et je me suis retournée, gênée de ce que je venais de faire en cachette.
J'ai alors senti une main se plaquer sur mes fesses. J'ai vraiment sursauté, la culpabilité était à son comble. En me retournant la tête, je la vis, les yeux grands ouvert et le sourire presque diabolique aux lèvres. Sa main entra sous ma culotte pour caresser ma peau. J'étais hypnotiser par ses caresses. Ma peau sensible en demandais encore. Elle s'approcha de moi et me sussura à l'oreille "Tu n'avais pas l'intention d'en arrêter là j'espère?" et moi de secouer la tête d'un petit non tout timide. Bien sûr que je voulais arrêter là, j'étais déjà assez humiliée comme ça. Elle retira soudainement la couverture et sortit sa main de ma culotte pour m'agripper par le cou. Elle me dit alors "Toi tu as eu du plaisir mais moi non, tu ne peux pas me laisser comme ça! Mange moi!". J'étais rouge de honte. J'avais je n'avais touché à une fille auparavent, j'étais déjà allée trop loin et maintenant, elle, si belle, me demandais d'en faire plus.
J'avais trop peur qu'elle en parle à mes parents et la pression de sa main sur mon cou m'amenait innévitablement vers son sexe. Elle avait déjà retirée sa petite culotte jusqu'au genoux et écartais les cuisse pour m'offrir son sexe rouge de désir. Déjà à l'approche de mon visage, je sentais la chaleur qui se dégageait d'entre ses jambes. Je n'eu même pas le temps de coller ma langue sur son sexe qu'elle avait déjà la tête levée vers l'arrière en soupirant d'excitation. Alors que ma langue entra en contact avec son sexe, je sentis le goût un peu salé de son nectar d'amour et je commençais déjà à l'apprécié. J'ai fait ce que j'ai pu avec ma petite langue de débutante. Quelque fois, elle me disait quoi faire et j'obéissais sans rechigner. Je l'ai mangée, dévorée du mieux que j'ai pu. Mais tout cela m'a semblé une éternité avant qu'elle jouisse. J'en avait mal à la machoire. Mais j'avais la satisfaction d'avoir fait jouir une superbe jeune fille avec comme seul outil, ma langue rose et douce.
Satisfaite, elle s'est retournée, les fesses nues pointant vers moi, pour s'endormir. J'étais figée devant ce magnifique petit cul, je le désirais, mais quelques secondes plus tard, elle remonta la couverture jusqu'à son cou et s'endormis sans me reparler. J'étais encore toute excitée, mais je n'ai pas osée me masturber une deuxième fois.
Le lendemain, la gêne était au plus haut. Déjeuner devant toute la famille avec ma cousine assise devant moi qui me souriait, non pas parce qu'elle était heureuse d'être au chalet avec nous, mais pour mon jeux de langue de la veille. Et je n'ai pas eu à attendre plus longtemps pour avoir encore plus honte. Le deuxième soir. Elle ne fit pas semblant de dormir. Elle me somma de me coucher toute nue et de me tourner dos à elle. Elle se plaque, nue, contre moi et commença à me caresser les seins. Puis elle pris ma jambe la et la monta de façon à lui donner accès à mon sexe. Son doigt caressait les limites de mon intimité puis entrait quelque peu, histoire de l'humecter un peu. Puis elle commença à me masturber intensément. Lorsqu'elle vit que j'allais jouir, elle stoppa toute caresse pour m'entre en doit dans les fesses. Je n'ai jamais compris pourquoi mais toujours avec un doigt dans mon anus, elle me retourna sur le dos et descendit sa tête entre mes cuisses. Puis elle me rendit la pareille pour ce que je lui avais fait la veille. Je me sentais comme un objet exploité, manipulé, mais c'était tellement bon que lorsque j'ai jouis, je crois bien avoir rejetté quelque gouttes de liquide, un peu comme une éjaculation.
Fiers d'elle même, elle se mis à quatre patte sur le lit et me demanda de lui lècher le cul. Encore une fois, un mélange de honte et d'excitation s'emparra de moi. Je ne sais pas pourquoi je l'ai fait, peut être encore la peur qu'elle le dise, mais surtout parce que son fessier était si érotique que je le voulais pour moi toute seule. Je me suis donc mise au travail, lèchant du mieux que je pouvait son entre fesse, sa petite rondelle tout en l'embrassant quelques fois au passage. Elle me demanda de la pénétrer avec ma langue, mais je n'ai pas pu, je me suis relevée et je lui ai dit "Ah non là alors!". Elle se retourna et me prenant par les poignets, elle me jetta sur le dos. Le bruit de ma chute sur le lit me fit craindre l'éveil des parents. Elle aussi d'ailleur puisqu'elle attendit quelque seconde avant de continuer. Elle se plaça au dessus de moi, en petit bonhomme, de manière à ce que ses fesses bien écartées se retrouvent bien offertent devant mon visage, puis elle s'assied sur moi en me sommant de lui lècher encore le cul et de lui rentrer la langue dedans. Ce que je fis, morte de peur, morte de honte, excitée comme jamais. Elle en profita pour se masturber au dessus de mes yeux ébahis par ce qui se passait. Ma langue avait trouvé, tant bien que mal, un chemin pour la sodomiser et elle se masturbais sur mon visage, alors que le jus de son excitation me coulait sur le nez et presque dans les yeux. Je ne peux vous décrire le feeling de sentir quelqu'un jouir, bien enfoncé sur votre visage. J'avais de la difficulté à respirer, mais je recommencerais n'importe quand. Elle s'est ensuite presqu'évannouie près de moi dans le lit. Je l'ai alors cachée de la douillette pour ensuite déposer un baiser sur son épaule avant de m'endormir moi même.
Le lendemain dans la journée, nous allions nous promener dans le boisé pas très loin, juste avant qu'elle reparte chez elle. Elle me plaqua contre un arbre lorsque nous étions hors de portée du chalet et que personne ne pouvait nous voir. Elle m'embrassa alors comme seuls des amoureux peuvent le faire tout en me malaxant les seins de façon très ferme. Elle me dit alors à l'oreille "Tu es ma p'tite saloppe maintenant" et moi de faire signe de oui, encore toute intimidée par elle. Elle a alors descendu mon pantalon pour m'offrir un cunilingus en pleine nature. Sans même me faire jouir elle remonta pour me faire goûter à mon propre nectar en m'embrassant de nouveau. Puis elle me dit "On recommencera une prochaine fois" et me laissa, à moitiée nue dans le bois. Je ne peux que vous dire que j'ai été incapable de remonter mon pantalons sans me masturber pour finir ce qu'elle avait commencée. Je suis ensuite rentrée au chalet à la course pour ne pas inquièter les autres de mon absence.
Depuis ce temps, on se voit une fois par année ou plus, moi et ma cousine et je suis toujours sa petite saloppe qui fait exactement tout ce qu'elle me demande.
La première nuit, j'ai attendu qu'elle dorme et je me suis approché un peu plus d'elle sous les couvertures. Petit à petit, ma jambe s'est retrouvée collée à la sienne. J'ai senti sa peau douce et ça m'a tout de suite fait de l'effet. Un petit éclair a traversé mon corps en partant de mon entre-jambe. Je dois vous avouer que lorsque j'ai vu qu'elle ne se réveillait pas, je me suis approchée d'avantage. J'ai même poussé l'audace jusqu'à caresser ses seins, de taille moyenne, mais très ferme et si doux. Je me rappelle encore de l'effet que ça m'a fait et surtout, qu'il m'ait été impossible de garder ma petite culotte sèche à ce moment là. Je sentais ses mamelons durcir sous mes caressses, toujours en vérifiant si elle dormait. J'étais tellement excitée que je faisais de moins en moins attention. Tant qu'à avoir découver le plaisir de caresser les seins d'une autre fille, je n'allais pas m'arrêter là. Ma main à tout de suis glissée entre ses cuisse pour y découvrir une zone douce et brûlante. Je n'osais pas aller sous le tissus. Je la caressais par dessus et ça m'excitait déjà à en mourir. Je n'ai pas pu m'empêcher de me masturber en continuant ma caresse sur son sexe. J'ai eu de la difficulté à jouir en silence tellement c'était bon. Et je me suis retournée, gênée de ce que je venais de faire en cachette.
J'ai alors senti une main se plaquer sur mes fesses. J'ai vraiment sursauté, la culpabilité était à son comble. En me retournant la tête, je la vis, les yeux grands ouvert et le sourire presque diabolique aux lèvres. Sa main entra sous ma culotte pour caresser ma peau. J'étais hypnotiser par ses caresses. Ma peau sensible en demandais encore. Elle s'approcha de moi et me sussura à l'oreille "Tu n'avais pas l'intention d'en arrêter là j'espère?" et moi de secouer la tête d'un petit non tout timide. Bien sûr que je voulais arrêter là, j'étais déjà assez humiliée comme ça. Elle retira soudainement la couverture et sortit sa main de ma culotte pour m'agripper par le cou. Elle me dit alors "Toi tu as eu du plaisir mais moi non, tu ne peux pas me laisser comme ça! Mange moi!". J'étais rouge de honte. J'avais je n'avais touché à une fille auparavent, j'étais déjà allée trop loin et maintenant, elle, si belle, me demandais d'en faire plus.
J'avais trop peur qu'elle en parle à mes parents et la pression de sa main sur mon cou m'amenait innévitablement vers son sexe. Elle avait déjà retirée sa petite culotte jusqu'au genoux et écartais les cuisse pour m'offrir son sexe rouge de désir. Déjà à l'approche de mon visage, je sentais la chaleur qui se dégageait d'entre ses jambes. Je n'eu même pas le temps de coller ma langue sur son sexe qu'elle avait déjà la tête levée vers l'arrière en soupirant d'excitation. Alors que ma langue entra en contact avec son sexe, je sentis le goût un peu salé de son nectar d'amour et je commençais déjà à l'apprécié. J'ai fait ce que j'ai pu avec ma petite langue de débutante. Quelque fois, elle me disait quoi faire et j'obéissais sans rechigner. Je l'ai mangée, dévorée du mieux que j'ai pu. Mais tout cela m'a semblé une éternité avant qu'elle jouisse. J'en avait mal à la machoire. Mais j'avais la satisfaction d'avoir fait jouir une superbe jeune fille avec comme seul outil, ma langue rose et douce.
Satisfaite, elle s'est retournée, les fesses nues pointant vers moi, pour s'endormir. J'étais figée devant ce magnifique petit cul, je le désirais, mais quelques secondes plus tard, elle remonta la couverture jusqu'à son cou et s'endormis sans me reparler. J'étais encore toute excitée, mais je n'ai pas osée me masturber une deuxième fois.
Le lendemain, la gêne était au plus haut. Déjeuner devant toute la famille avec ma cousine assise devant moi qui me souriait, non pas parce qu'elle était heureuse d'être au chalet avec nous, mais pour mon jeux de langue de la veille. Et je n'ai pas eu à attendre plus longtemps pour avoir encore plus honte. Le deuxième soir. Elle ne fit pas semblant de dormir. Elle me somma de me coucher toute nue et de me tourner dos à elle. Elle se plaque, nue, contre moi et commença à me caresser les seins. Puis elle pris ma jambe la et la monta de façon à lui donner accès à mon sexe. Son doigt caressait les limites de mon intimité puis entrait quelque peu, histoire de l'humecter un peu. Puis elle commença à me masturber intensément. Lorsqu'elle vit que j'allais jouir, elle stoppa toute caresse pour m'entre en doit dans les fesses. Je n'ai jamais compris pourquoi mais toujours avec un doigt dans mon anus, elle me retourna sur le dos et descendit sa tête entre mes cuisses. Puis elle me rendit la pareille pour ce que je lui avais fait la veille. Je me sentais comme un objet exploité, manipulé, mais c'était tellement bon que lorsque j'ai jouis, je crois bien avoir rejetté quelque gouttes de liquide, un peu comme une éjaculation.
Fiers d'elle même, elle se mis à quatre patte sur le lit et me demanda de lui lècher le cul. Encore une fois, un mélange de honte et d'excitation s'emparra de moi. Je ne sais pas pourquoi je l'ai fait, peut être encore la peur qu'elle le dise, mais surtout parce que son fessier était si érotique que je le voulais pour moi toute seule. Je me suis donc mise au travail, lèchant du mieux que je pouvait son entre fesse, sa petite rondelle tout en l'embrassant quelques fois au passage. Elle me demanda de la pénétrer avec ma langue, mais je n'ai pas pu, je me suis relevée et je lui ai dit "Ah non là alors!". Elle se retourna et me prenant par les poignets, elle me jetta sur le dos. Le bruit de ma chute sur le lit me fit craindre l'éveil des parents. Elle aussi d'ailleur puisqu'elle attendit quelque seconde avant de continuer. Elle se plaça au dessus de moi, en petit bonhomme, de manière à ce que ses fesses bien écartées se retrouvent bien offertent devant mon visage, puis elle s'assied sur moi en me sommant de lui lècher encore le cul et de lui rentrer la langue dedans. Ce que je fis, morte de peur, morte de honte, excitée comme jamais. Elle en profita pour se masturber au dessus de mes yeux ébahis par ce qui se passait. Ma langue avait trouvé, tant bien que mal, un chemin pour la sodomiser et elle se masturbais sur mon visage, alors que le jus de son excitation me coulait sur le nez et presque dans les yeux. Je ne peux vous décrire le feeling de sentir quelqu'un jouir, bien enfoncé sur votre visage. J'avais de la difficulté à respirer, mais je recommencerais n'importe quand. Elle s'est ensuite presqu'évannouie près de moi dans le lit. Je l'ai alors cachée de la douillette pour ensuite déposer un baiser sur son épaule avant de m'endormir moi même.
Le lendemain dans la journée, nous allions nous promener dans le boisé pas très loin, juste avant qu'elle reparte chez elle. Elle me plaqua contre un arbre lorsque nous étions hors de portée du chalet et que personne ne pouvait nous voir. Elle m'embrassa alors comme seuls des amoureux peuvent le faire tout en me malaxant les seins de façon très ferme. Elle me dit alors à l'oreille "Tu es ma p'tite saloppe maintenant" et moi de faire signe de oui, encore toute intimidée par elle. Elle a alors descendu mon pantalon pour m'offrir un cunilingus en pleine nature. Sans même me faire jouir elle remonta pour me faire goûter à mon propre nectar en m'embrassant de nouveau. Puis elle me dit "On recommencera une prochaine fois" et me laissa, à moitiée nue dans le bois. Je ne peux que vous dire que j'ai été incapable de remonter mon pantalons sans me masturber pour finir ce qu'elle avait commencée. Je suis ensuite rentrée au chalet à la course pour ne pas inquièter les autres de mon absence.
Depuis ce temps, on se voit une fois par année ou plus, moi et ma cousine et je suis toujours sa petite saloppe qui fait exactement tout ce qu'elle me demande.
lundi 24 septembre 2007
L'ami station-service
Il est toujours précieux d'avoir un ami station-service. Lorsqu'on a besoin d'un peu d'affection ou de sexe tout simplement, d'avoir ce service à portée de main et rapidement.
Hier, je me sentais seule, j'ai appelé mon ami Mat. Il a présentement une blonde mais disons qu'il n'a jamais pu refuser mes avances. Au début, je voulais le voir juste pour me tenir compagnie, j'étais un peu mélancolique. Mais alors qu'on se faisait un petit souper arrosé d'un bon vin. Je lui racontai justement l'histoire du spa, racontée dans le billet précédent. J'ai vu que ça lui faisait beaucoup d'effet et j'avoue, que de mon côté, ça m'a allumée de le raconter et le voir se trémousser sur sa chaise, probablement pour replacer son membre qui a durcit rapidement et était coincé.
Je lui ai dit qu'il serait temps qu'on écoute le film qu'on avait loué. Il acquiessa. Je me lève en lui disant que j'allais enfiler quelque chose de plus confortable pour un film. Lorsque je revins, affublée d'une simple chemise de nuit, j'ai remarqué son sourire et son air excité. Il prit alors place sur le sofa, face à la télé et je m'avançai pour aller mettre le film dans le lecteur DVD sous la télé. J'ai fait exprès pour me pencher sans plier les genoux, pour lui donner une belle vue sous ma chemise, pour qu'il puisse voir que je ne portais rien en dessous. J'ai vraiment pris le temps qu'il fallait pour mettre le film. Tellement, que ça paraissait que j'en mettais.
Il a fini par allumer le pauvre. J'ai senti sa présence derrière moi et en quelques secondes, je senti déjà la pression de son immense gland à mon ouverture, déjà bien lubrifiée. Il me pénétra, alors que tentai de me tenir sur la télévision et il commença déjà de violent coup répétitif dans mon sexe en feu. Je m'accrochais tant bien que mal, alors que les petits bibelos sur la télé eux, tombaient par terre. J'entendais ses râlements derrière moi alors qu'il accélérait la cadence.
J'adore me faire prendre par derrière et il n'en fallu pas plus pour me faire jouir. Je sentis ses mains m'aggriper par les seins violement alors qu'il gémissait en jouissant bien enfouis en moi.
En me retournant, je vis que son expression avait changé, comme s'il avait peur. Il se dépêcha de remettre son pantalon et parti en vitesse, prétextant qu'il ne devait pas rentrer tard. Même si on avait pas écouté le film. J'avoue que j'étais un peu en reste, j'en voulais encore.
J'ai pris le téléphone et j'ai appelé Seb pour qu'il vienne écouter le film avec moi, prétextant avoir vraiment besoin de compagnie et que je me sentais seule. Après l'appel, je sautais dans la douche pour me rafraîchir un peu. Dans la douche, l'excitation de la scene précédente et de ce qui pourrait s'en venir m'obligea à me caresser tellement j'en avais envie. Mes doigts glissaient bien sur mon clitoris alors que de l'autre main j'en profitais pour tantôt caresser mes seins, tantôt passer entre mes fesses pour caresser mon petit trou. Le plaisir monta en moi comme le feu qui passe à travers un conduit. J'ai tellement jouis que j'en suis tombée à genoux dans la baignoire. Mais je m'en remettais à peine que la sonnette de la porte se fit entendre.
Je me dépêchai d'enfiler une serviette autour de mon corps pour aller répondre. C'était évidement Seb qui avait fait beaucoup plus vite que je ne l'aurais imaginé. En fait, lorsque je l'ai appelé sur son cellulaire, il était chez une amie, Isa et quelle surprise de la voir juste derrière lui. Il me dit: "Ça te dérange pas si j'ai amené Isa, je voulais pas la laisser seule et tu avais tellement l'air désemparée!" et moi de lui répondre par un non très timide. Mais lorsque je vis Isa me faire un petit sourire coquin en me regardant à moitié nue, cachée par une simple serviette trop petite pour faire le tour complet du corps, je me suis dit qu'on allait tout de même avoir une soirée intéressante. Mais ça, je vous le raconterai plus tard...
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Hier, je me sentais seule, j'ai appelé mon ami Mat. Il a présentement une blonde mais disons qu'il n'a jamais pu refuser mes avances. Au début, je voulais le voir juste pour me tenir compagnie, j'étais un peu mélancolique. Mais alors qu'on se faisait un petit souper arrosé d'un bon vin. Je lui racontai justement l'histoire du spa, racontée dans le billet précédent. J'ai vu que ça lui faisait beaucoup d'effet et j'avoue, que de mon côté, ça m'a allumée de le raconter et le voir se trémousser sur sa chaise, probablement pour replacer son membre qui a durcit rapidement et était coincé.
Je lui ai dit qu'il serait temps qu'on écoute le film qu'on avait loué. Il acquiessa. Je me lève en lui disant que j'allais enfiler quelque chose de plus confortable pour un film. Lorsque je revins, affublée d'une simple chemise de nuit, j'ai remarqué son sourire et son air excité. Il prit alors place sur le sofa, face à la télé et je m'avançai pour aller mettre le film dans le lecteur DVD sous la télé. J'ai fait exprès pour me pencher sans plier les genoux, pour lui donner une belle vue sous ma chemise, pour qu'il puisse voir que je ne portais rien en dessous. J'ai vraiment pris le temps qu'il fallait pour mettre le film. Tellement, que ça paraissait que j'en mettais.
Il a fini par allumer le pauvre. J'ai senti sa présence derrière moi et en quelques secondes, je senti déjà la pression de son immense gland à mon ouverture, déjà bien lubrifiée. Il me pénétra, alors que tentai de me tenir sur la télévision et il commença déjà de violent coup répétitif dans mon sexe en feu. Je m'accrochais tant bien que mal, alors que les petits bibelos sur la télé eux, tombaient par terre. J'entendais ses râlements derrière moi alors qu'il accélérait la cadence.
J'adore me faire prendre par derrière et il n'en fallu pas plus pour me faire jouir. Je sentis ses mains m'aggriper par les seins violement alors qu'il gémissait en jouissant bien enfouis en moi.
En me retournant, je vis que son expression avait changé, comme s'il avait peur. Il se dépêcha de remettre son pantalon et parti en vitesse, prétextant qu'il ne devait pas rentrer tard. Même si on avait pas écouté le film. J'avoue que j'étais un peu en reste, j'en voulais encore.
J'ai pris le téléphone et j'ai appelé Seb pour qu'il vienne écouter le film avec moi, prétextant avoir vraiment besoin de compagnie et que je me sentais seule. Après l'appel, je sautais dans la douche pour me rafraîchir un peu. Dans la douche, l'excitation de la scene précédente et de ce qui pourrait s'en venir m'obligea à me caresser tellement j'en avais envie. Mes doigts glissaient bien sur mon clitoris alors que de l'autre main j'en profitais pour tantôt caresser mes seins, tantôt passer entre mes fesses pour caresser mon petit trou. Le plaisir monta en moi comme le feu qui passe à travers un conduit. J'ai tellement jouis que j'en suis tombée à genoux dans la baignoire. Mais je m'en remettais à peine que la sonnette de la porte se fit entendre.
Je me dépêchai d'enfiler une serviette autour de mon corps pour aller répondre. C'était évidement Seb qui avait fait beaucoup plus vite que je ne l'aurais imaginé. En fait, lorsque je l'ai appelé sur son cellulaire, il était chez une amie, Isa et quelle surprise de la voir juste derrière lui. Il me dit: "Ça te dérange pas si j'ai amené Isa, je voulais pas la laisser seule et tu avais tellement l'air désemparée!" et moi de lui répondre par un non très timide. Mais lorsque je vis Isa me faire un petit sourire coquin en me regardant à moitié nue, cachée par une simple serviette trop petite pour faire le tour complet du corps, je me suis dit qu'on allait tout de même avoir une soirée intéressante. Mais ça, je vous le raconterai plus tard...
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