jeudi 18 octobre 2007

Une escapade au golf

Je vais vous avouer bien franchement que je n'aime pas le golf, mais j'ai bien aimé ma journée. C'était l'occasion idéale pour mettre ma petite jupe carrotée d'écolière. En plus, comme c'était au mois de juillet et qu'il faisait très chaud, j'ai alors décidé de ne rien porter en dessous. Pour le haut, une simple petite camisole moulante et une demi casquette sur la tête, pour me protéger du soleil bien sûr.

Toujours est-il que je m'y étais retrouvé par invitation d'un collègue de bureau. Lui et deux de ses amis jouaient au golf assez souvent, ils étaient donc des pros comparés à moi. Mais ils m'ont dit que ça n'avait pas d'importance et qu'on se pairait du bon temps. Le matin même de cette fameuse journée, mon compagnon de bureau arriva en auto avec un seul ami. Je lui demandai ou étais l'autre alors que je montais dans la voiture, sous leurs regards élargis et contemplant mes longues jambes sous ma courte jupe. Il me dit alors, reprenant ses esprit, qu'il ne viendrait pas, sa blonde étant malade et il devait s'occuper de son fils de 3 mois.

Finalement arrivé sur le terrain, le temps commença à se couvrir avant même que j'eu le temps de "swigner" dans le vide en essayant de tapper la balle le plus loin possible. Mais les garçons ont alors décidés de continuer à jouer, que ça ne se gâterais pas. Mais le vent se leva et plusieurs autres joueurs quitterent le terrain. Bizarrement, les deux gars se tenaient souvent derrière moi, probablement dans l'espoir que le vent l'emporte sur ma jupe. Même mon décolleté ne les intéressait pas autant, même en me penchant pour frapper la balle.

Finalement, mon premier coup, bien que faible, garda quand même une ligne assez droite. Ils me dire de garder cette position, mais de frapper plus fort. Leurs coups étaient bien plus puissants et ce fut à moi de rejouer. Mon deuxième coup, bien plus fort, fut beaucoup moins droit et alla loger la balle directement dans le petit boisé à notre gauche. On me dit alors qu'il fallait que j'aille la chercher. Je partis alors dans le petit bois, sautillant comme une gazelle, m'imaginant leurs regards hargard et leurs sourire niais en voyant ma jupe relever juste un peu, mais pas assez pour me dévoiler. Mais malheur, je ne trouvais pas ma balle. Je me mis alors à crier, requerant leurs aide et je les vois alors se précipiter tous les deux vers moi.

Nous continuames alors nos recherches à trois. Alors que j'étais penchée pour chercher dans l'herbe haute, je ne m'aperçu pas que ma jupe était trop levée et révélait mon intimité féminine. C'est en me retournant, alors que j'ai vu le visage des deux gars que j'ai compris. Disons que l'air frais caressant mes partis m'avait déjà donné une bonne idée sur mon dévoilement. Je continuai donc ce que je faisais en bougeant mes hanches de gauche à droite. Il n'en fallu pas plus pour sentir une main se poser sur ma croupe et commencer rapidement une caresse sur mes fesses. Il a dû être agréablement surpris lorsqu'il a remaqué que je me penchais encore plus. Ça ne lui en prenait pas plus pour que, la tête penchée par terre, je remarque entre mes jambes ouverte, son pantalon tomber sur le sol. Il n'a pas eu besoin de faire grand chose pour s'insérer en moi. Je sentis alors son membre viril pénétrer d'un coup sec mon petit sexe humide. Puis il se mit en cadence à me donner des coups de hanches en me tenant bien par les miennes. Ses mains seraient ma peau comme des poignées de moto. C'est alors que j'ai vu son ami s'avancer vers moi, le pantalon toujours relevé, mais le sexe sorti par la fermeture éclaire. Il le tenait dans sa main et se masturbait en nous regardant.

Je lui ai alors fait signe de s'approcher en me lèchant les lèvres. J'ai baissé ma camisole sous mes seins et alors que l'un me baisais par derrière, je pris l'autre en bouche, entièrement, commençant un mouvement de langue autour de son gland. D'une main je tenais son sexe dans ma bouche et de l'autre, je m'aggripais à son pantalon pour ne pas tomber sous la force des coups de mon compagnon de bureau. Alors que je le suçais de mon mieux, le cochon m'a écaculé dans la bouche sans prévenir. Je n'aime vraiment pas ce genre de surprise, mais je ne pouvais pas lui gâcher son plaisir sur le moment.

J'ai donc tout avalé, mais il ne perdait rien pour attendre. Alors que mon ami travailleur me travaillais le sexe et je l'entendais râler comme un orignal alors que je sentis toute sa semance chaude coulée entre mes cuisses. Je me mis à embrasser son ami, pour qu'il goûte un peu à son sperme, mais encore pire, je l'ai couché dans l'herbe, j'ai joué un peu avec son membre pour le refaire gonflé et à l'aide du sperme coulant d'entre mes cuisses, je me suis lubrifié l'anus pour l'y inséré. Alors qu'il me sodomisait avec force, je me mis à sucer mon compagnon de bureau qui se tenait debout non loin de là. Et avant que son ami jouisse dans mon cul, je me suis approché la chatte au dessus de sa bouche en lui disant "fais moi jouir avant, si tu veux jouir dans mon cul" et le salaud, il l'a fait. Ça devait encore goûter le sperme de son ami, mais moi je m'en foutais.

Je repris mon coworker en bouche alors que son ami allait me faire jouir avec sa langue. Cette fois, j'étais trop allumée pour me soucier qu'il vienne dans ma bouche. Pendant que mon orgasme montait, j'ai reçus la première giclée de son plaisir dans ma gorge. Cela eu pour effet d'augmenter le plaisir alors que je jouissais sur la langue de son ami. Une fois fait, je me suis mise à quattre patte, regardant ce même ami et lui disant "Allez, viens dans mon cul, tu as gagné ta récompense." Il ne s'est alors pas fait prié, et il n'en fallu pas plus que 4 ou 5 coup pour sentir son membre se gonfler entre mes fesses avant de me décharger son orgasme à l'intérieur de mon cul.

Disons que les petits lac près des "greens" sont très pratique pour se remettre un peu d'une escapade dans les boisés. Mais la morale de cette histoire, je n'ai jamais retrouvé ma balle et nous n'avons jamais fini le parcours.

Aucun commentaire: