jeudi 27 septembre 2007

Confession

Plus jeune, disons à l'adolescence, je fantasmais sur ma cousine de 2 ans plus vieille que moi. Et pendant un été, au chalet de mes parents, je l'avais invitée à venir passer du temps avec notre famille. Pour dormir, il avait été convenu qu'elle dormirait avec moi dans mon lit, puisque j'avais un lit double et qu'elle ne pouvait ni dormir avec mes parents, mon frère ou ma soeur trop jeune à l'époque.

La première nuit, j'ai attendu qu'elle dorme et je me suis approché un peu plus d'elle sous les couvertures. Petit à petit, ma jambe s'est retrouvée collée à la sienne. J'ai senti sa peau douce et ça m'a tout de suite fait de l'effet. Un petit éclair a traversé mon corps en partant de mon entre-jambe. Je dois vous avouer que lorsque j'ai vu qu'elle ne se réveillait pas, je me suis approchée d'avantage. J'ai même poussé l'audace jusqu'à caresser ses seins, de taille moyenne, mais très ferme et si doux. Je me rappelle encore de l'effet que ça m'a fait et surtout, qu'il m'ait été impossible de garder ma petite culotte sèche à ce moment là. Je sentais ses mamelons durcir sous mes caressses, toujours en vérifiant si elle dormait. J'étais tellement excitée que je faisais de moins en moins attention. Tant qu'à avoir découver le plaisir de caresser les seins d'une autre fille, je n'allais pas m'arrêter là. Ma main à tout de suis glissée entre ses cuisse pour y découvrir une zone douce et brûlante. Je n'osais pas aller sous le tissus. Je la caressais par dessus et ça m'excitait déjà à en mourir. Je n'ai pas pu m'empêcher de me masturber en continuant ma caresse sur son sexe. J'ai eu de la difficulté à jouir en silence tellement c'était bon. Et je me suis retournée, gênée de ce que je venais de faire en cachette.

J'ai alors senti une main se plaquer sur mes fesses. J'ai vraiment sursauté, la culpabilité était à son comble. En me retournant la tête, je la vis, les yeux grands ouvert et le sourire presque diabolique aux lèvres. Sa main entra sous ma culotte pour caresser ma peau. J'étais hypnotiser par ses caresses. Ma peau sensible en demandais encore. Elle s'approcha de moi et me sussura à l'oreille "Tu n'avais pas l'intention d'en arrêter là j'espère?" et moi de secouer la tête d'un petit non tout timide. Bien sûr que je voulais arrêter là, j'étais déjà assez humiliée comme ça. Elle retira soudainement la couverture et sortit sa main de ma culotte pour m'agripper par le cou. Elle me dit alors "Toi tu as eu du plaisir mais moi non, tu ne peux pas me laisser comme ça! Mange moi!". J'étais rouge de honte. J'avais je n'avais touché à une fille auparavent, j'étais déjà allée trop loin et maintenant, elle, si belle, me demandais d'en faire plus.

J'avais trop peur qu'elle en parle à mes parents et la pression de sa main sur mon cou m'amenait innévitablement vers son sexe. Elle avait déjà retirée sa petite culotte jusqu'au genoux et écartais les cuisse pour m'offrir son sexe rouge de désir. Déjà à l'approche de mon visage, je sentais la chaleur qui se dégageait d'entre ses jambes. Je n'eu même pas le temps de coller ma langue sur son sexe qu'elle avait déjà la tête levée vers l'arrière en soupirant d'excitation. Alors que ma langue entra en contact avec son sexe, je sentis le goût un peu salé de son nectar d'amour et je commençais déjà à l'apprécié. J'ai fait ce que j'ai pu avec ma petite langue de débutante. Quelque fois, elle me disait quoi faire et j'obéissais sans rechigner. Je l'ai mangée, dévorée du mieux que j'ai pu. Mais tout cela m'a semblé une éternité avant qu'elle jouisse. J'en avait mal à la machoire. Mais j'avais la satisfaction d'avoir fait jouir une superbe jeune fille avec comme seul outil, ma langue rose et douce.

Satisfaite, elle s'est retournée, les fesses nues pointant vers moi, pour s'endormir. J'étais figée devant ce magnifique petit cul, je le désirais, mais quelques secondes plus tard, elle remonta la couverture jusqu'à son cou et s'endormis sans me reparler. J'étais encore toute excitée, mais je n'ai pas osée me masturber une deuxième fois.

Le lendemain, la gêne était au plus haut. Déjeuner devant toute la famille avec ma cousine assise devant moi qui me souriait, non pas parce qu'elle était heureuse d'être au chalet avec nous, mais pour mon jeux de langue de la veille. Et je n'ai pas eu à attendre plus longtemps pour avoir encore plus honte. Le deuxième soir. Elle ne fit pas semblant de dormir. Elle me somma de me coucher toute nue et de me tourner dos à elle. Elle se plaque, nue, contre moi et commença à me caresser les seins. Puis elle pris ma jambe la et la monta de façon à lui donner accès à mon sexe. Son doigt caressait les limites de mon intimité puis entrait quelque peu, histoire de l'humecter un peu. Puis elle commença à me masturber intensément. Lorsqu'elle vit que j'allais jouir, elle stoppa toute caresse pour m'entre en doit dans les fesses. Je n'ai jamais compris pourquoi mais toujours avec un doigt dans mon anus, elle me retourna sur le dos et descendit sa tête entre mes cuisses. Puis elle me rendit la pareille pour ce que je lui avais fait la veille. Je me sentais comme un objet exploité, manipulé, mais c'était tellement bon que lorsque j'ai jouis, je crois bien avoir rejetté quelque gouttes de liquide, un peu comme une éjaculation.

Fiers d'elle même, elle se mis à quatre patte sur le lit et me demanda de lui lècher le cul. Encore une fois, un mélange de honte et d'excitation s'emparra de moi. Je ne sais pas pourquoi je l'ai fait, peut être encore la peur qu'elle le dise, mais surtout parce que son fessier était si érotique que je le voulais pour moi toute seule. Je me suis donc mise au travail, lèchant du mieux que je pouvait son entre fesse, sa petite rondelle tout en l'embrassant quelques fois au passage. Elle me demanda de la pénétrer avec ma langue, mais je n'ai pas pu, je me suis relevée et je lui ai dit "Ah non là alors!". Elle se retourna et me prenant par les poignets, elle me jetta sur le dos. Le bruit de ma chute sur le lit me fit craindre l'éveil des parents. Elle aussi d'ailleur puisqu'elle attendit quelque seconde avant de continuer. Elle se plaça au dessus de moi, en petit bonhomme, de manière à ce que ses fesses bien écartées se retrouvent bien offertent devant mon visage, puis elle s'assied sur moi en me sommant de lui lècher encore le cul et de lui rentrer la langue dedans. Ce que je fis, morte de peur, morte de honte, excitée comme jamais. Elle en profita pour se masturber au dessus de mes yeux ébahis par ce qui se passait. Ma langue avait trouvé, tant bien que mal, un chemin pour la sodomiser et elle se masturbais sur mon visage, alors que le jus de son excitation me coulait sur le nez et presque dans les yeux. Je ne peux vous décrire le feeling de sentir quelqu'un jouir, bien enfoncé sur votre visage. J'avais de la difficulté à respirer, mais je recommencerais n'importe quand. Elle s'est ensuite presqu'évannouie près de moi dans le lit. Je l'ai alors cachée de la douillette pour ensuite déposer un baiser sur son épaule avant de m'endormir moi même.

Le lendemain dans la journée, nous allions nous promener dans le boisé pas très loin, juste avant qu'elle reparte chez elle. Elle me plaqua contre un arbre lorsque nous étions hors de portée du chalet et que personne ne pouvait nous voir. Elle m'embrassa alors comme seuls des amoureux peuvent le faire tout en me malaxant les seins de façon très ferme. Elle me dit alors à l'oreille "Tu es ma p'tite saloppe maintenant" et moi de faire signe de oui, encore toute intimidée par elle. Elle a alors descendu mon pantalon pour m'offrir un cunilingus en pleine nature. Sans même me faire jouir elle remonta pour me faire goûter à mon propre nectar en m'embrassant de nouveau. Puis elle me dit "On recommencera une prochaine fois" et me laissa, à moitiée nue dans le bois. Je ne peux que vous dire que j'ai été incapable de remonter mon pantalons sans me masturber pour finir ce qu'elle avait commencée. Je suis ensuite rentrée au chalet à la course pour ne pas inquièter les autres de mon absence.

Depuis ce temps, on se voit une fois par année ou plus, moi et ma cousine et je suis toujours sa petite saloppe qui fait exactement tout ce qu'elle me demande.

lundi 24 septembre 2007

L'ami station-service

Il est toujours précieux d'avoir un ami station-service. Lorsqu'on a besoin d'un peu d'affection ou de sexe tout simplement, d'avoir ce service à portée de main et rapidement.

Hier, je me sentais seule, j'ai appelé mon ami Mat. Il a présentement une blonde mais disons qu'il n'a jamais pu refuser mes avances. Au début, je voulais le voir juste pour me tenir compagnie, j'étais un peu mélancolique. Mais alors qu'on se faisait un petit souper arrosé d'un bon vin. Je lui racontai justement l'histoire du spa, racontée dans le billet précédent. J'ai vu que ça lui faisait beaucoup d'effet et j'avoue, que de mon côté, ça m'a allumée de le raconter et le voir se trémousser sur sa chaise, probablement pour replacer son membre qui a durcit rapidement et était coincé.

Je lui ai dit qu'il serait temps qu'on écoute le film qu'on avait loué. Il acquiessa. Je me lève en lui disant que j'allais enfiler quelque chose de plus confortable pour un film. Lorsque je revins, affublée d'une simple chemise de nuit, j'ai remarqué son sourire et son air excité. Il prit alors place sur le sofa, face à la télé et je m'avançai pour aller mettre le film dans le lecteur DVD sous la télé. J'ai fait exprès pour me pencher sans plier les genoux, pour lui donner une belle vue sous ma chemise, pour qu'il puisse voir que je ne portais rien en dessous. J'ai vraiment pris le temps qu'il fallait pour mettre le film. Tellement, que ça paraissait que j'en mettais.

Il a fini par allumer le pauvre. J'ai senti sa présence derrière moi et en quelques secondes, je senti déjà la pression de son immense gland à mon ouverture, déjà bien lubrifiée. Il me pénétra, alors que tentai de me tenir sur la télévision et il commença déjà de violent coup répétitif dans mon sexe en feu. Je m'accrochais tant bien que mal, alors que les petits bibelos sur la télé eux, tombaient par terre. J'entendais ses râlements derrière moi alors qu'il accélérait la cadence.

J'adore me faire prendre par derrière et il n'en fallu pas plus pour me faire jouir. Je sentis ses mains m'aggriper par les seins violement alors qu'il gémissait en jouissant bien enfouis en moi.

En me retournant, je vis que son expression avait changé, comme s'il avait peur. Il se dépêcha de remettre son pantalon et parti en vitesse, prétextant qu'il ne devait pas rentrer tard. Même si on avait pas écouté le film. J'avoue que j'étais un peu en reste, j'en voulais encore.

J'ai pris le téléphone et j'ai appelé Seb pour qu'il vienne écouter le film avec moi, prétextant avoir vraiment besoin de compagnie et que je me sentais seule. Après l'appel, je sautais dans la douche pour me rafraîchir un peu. Dans la douche, l'excitation de la scene précédente et de ce qui pourrait s'en venir m'obligea à me caresser tellement j'en avais envie. Mes doigts glissaient bien sur mon clitoris alors que de l'autre main j'en profitais pour tantôt caresser mes seins, tantôt passer entre mes fesses pour caresser mon petit trou. Le plaisir monta en moi comme le feu qui passe à travers un conduit. J'ai tellement jouis que j'en suis tombée à genoux dans la baignoire. Mais je m'en remettais à peine que la sonnette de la porte se fit entendre.

Je me dépêchai d'enfiler une serviette autour de mon corps pour aller répondre. C'était évidement Seb qui avait fait beaucoup plus vite que je ne l'aurais imaginé. En fait, lorsque je l'ai appelé sur son cellulaire, il était chez une amie, Isa et quelle surprise de la voir juste derrière lui. Il me dit: "Ça te dérange pas si j'ai amené Isa, je voulais pas la laisser seule et tu avais tellement l'air désemparée!" et moi de lui répondre par un non très timide. Mais lorsque je vis Isa me faire un petit sourire coquin en me regardant à moitié nue, cachée par une simple serviette trop petite pour faire le tour complet du corps, je me suis dit qu'on allait tout de même avoir une soirée intéressante. Mais ça, je vous le raconterai plus tard...

xxx

mardi 18 septembre 2007

Dans la vie, il faut se mouiller

Il y a à peine un mois, j'ai fait connaissance avec une nouvelle compagne sur réseau contact. Une jolie blonde, de taille moyenne, très mince avec de petits seins. Nous avons échangés quelques photos avant, histoire de voir si cela nous convenait à toute les deux et nous avons été assez excitées chacune de notre côté.

Une rencontre était de mise. Mais comme je déteste décevoir ou être déçue, la première rencontre devait avoir lieu en public. Nous avons alors convenue d'aller prendre un verre dans un bar pas trop loin.

Il faisait très chaud ce soir là. La terrasse semblait un endroit idéal pour prendre un verre. À mon arrivé, j'avais remarqué la présence d'un spa sur la terrasse, d'autant plus que mon regard y ait été attiré par la présence de trois jolie femme dont deux en sous vêtements. La demoiselle, que je nommerai ici Alice, se présenta quelques minutes après mon arrivé. Ça tout de suite cliqué entre nous, son sourire merveilleux m'a tout de suite fait de l'effet. Nous avons alors pris quelques vers, scrutant le regard de l'autre. J'ai bien vu son regard insistant sur ma poitrine, car, avec la chaleur qu'il faisait, j'étais très peu habillée.

Alors que les filles du spa sortaient en riant, je lui jettai un regard complice, l'invitant à faire comme elles. Au début elle ne voulu pas, trop gênée, mais après un autre verre, elle se leva, la voix tréssautante, comme pour se convaincre d'y aller maintenant ou jamais.

Nous nous sommes alors déshabillées et nous avons plongé dans le spa avec nos sous-vêtements seuls pour nous cacher. Bien évidement, au bonheur des messieurs assis près de là et des passants dans la rue. L'eau était bonne, mais à ma grande déception, elle se tenait loin de moi. Mais alors qu'on se décidait à sortir et que la soirée achevait, il se mit à pleuvoir des cordes. Tous les clients se sont précipités dans le bar à la course et de même qu'Alice qui se leva très rapidement.

Je ne sais pas ce qui m'a pris, mais je ne voulais pas retourner chez moi à la fin de cette soirée, en manque de ne rien avoir eu. Je l'ai agrippée par le bras et tirée vers moi. Je l'ai tout de suite embrassée. Elle ne s'est pas vraiment défendue, mais au début elle était un peu tendu. Puis j'ai assisté à la transformation d'une bête de sexe. Ses lèvres se sont emparées des miennes, alors que sa main s'est dirigée doucement dans l'eau, longeant mon ventre, s'arrêtant quelques secondes pour caresser mon nombril muni d'un piercing pour ensuite se plaquer entre mes jambes. N'y tenant plus, j'enlevai mon string pendant que nous continuions à nous embrasser de façon très érotique. J'en ai même oublié que nous étions dehors alors qu'elle m'enlevait mon soutien-gorge. Quoi qu'elle non plus, ne s'en souciait guerre alors que je la dévêtis en vitesse.

Sa main retourna entre mes cuisses, mais cette fois, son doigt pouvais bien caresser entre mes lèvres et je la sentais chercher mon clitoris. Quand à sa bouche, elle était maintenant beaucoup trop occupée par mes seins pour continuer ce doux baiser. Elle me masturba pendant quelques minutes, mais j'étais trop excitée, je me suis alors remonté les reins accotés sur le rebord du spa. J'ai vu son regard coquin lorsque sa tête commença sa descente vers mon jardin secret, quoi qu'il n'y ai plus beaucoup de végétation dans cet endroit.

Sa langue était plus chaude que la canicule et ses mains, ouvrant mes fesses pour trouver mon anus, me rendaient déjà folle. Elle me caressait entre les fesses alors que son autre main remonta sur mes seins. J'ai bien vu qu'elle aimait ma poitrine, non pas que j'avais une énorme poitrine, mais d'une bonne taille et surtout bien ronde.

Après avoir jouis de sa langue, je l'ai remontée sur le bord du spa pour lui rendre la pareille. Elle goûtais le mélange de chlore et de son nectar de plaisir. Je m'en suis délectée jusqu'à ce qu'elle jouisse elle aussi, dans un tréssaillement de son corps, accompagnant le tonnere et la pluie chaude sur son corps.

Elle s'approcha pour m'embrasser et me demander timidement si elle pouvait me lécher le cul. Je fus sur le coup surprise de cette demande, pas que cela me choque, mais je ne m'y attendais pas dutout. Je me suis alors retournée et penchée sur le bord du spa, lui offrant toute la vue de mon postérieur bien ouvert. Elle s'est alors approchée en insérant sa langue entre mes fesses, me léchant l'anus comme une grosse gourmande. Tellement que j'en prenais un vilain plaisir et que c'était tellement bon, que j'ai dû me masturber en même temps. Ce qui était encore plus excitant, c'est lorsque je me suis aperçu qu'elle se caressait elle aussi. Lorsque je l'ai senti jouir, que j'ai senti son souffle chaud dans mon cul, je n'ai pas pu résister et j'ai jouis une deuxième vois, avec sa langue, bien entrée dans mon petit trou.

Nous nous sommes habillées ensuite en se promettant de se revoir. Alors petite Alice, comme prévu, je t'attend samedi chez moi pour un bon souper entre... amies! ;)